Espéranto - Emploi - Compétences - Stage - Missions - procédure pour un projet - déductibilité des cotisations - Peut-on trouver un emploi à Solidarité Mondiale ? Solidarité Mondiale fonctionne exclusivement sur la base du bénévolat. Il n'y a aucun salarié dans notre organisation. Tout est fait pour que les cotisations de nos membres servent effectivement au soutien des projets de développement. Les frais de secrétariat, d'administration et d'information n'excèdent pas 15 % du budget. Pas d'emploi, mais des travaux divers qui réclament de nombreuses compétences et bonnes volontés :
| ||
| ||
| ||
| ||
| ||
| ||
| ||
Peut-on effectuer un stage à Solidarité Mondiale ? SOLIDARITE MONDIALE n'a pas de lieu précis. Le siège "légal" est à Gemeaux (Côte d'Or, France), et le secrétariat s'effectue chez les membres du Conseil d'Administration ou chez certains correspondants : à Brive, Tours, Angers, Poitiers... Nous communiquons par téléphone, fax ou messagerie électronique et avons un rythme trimestriel de rencontre. Dans ces conditions, il est difficile d'envisager un "stage" qui validerait ou fonderait l'obtention d'un diplôme. Néanmoins des stages courts sont possibles à la rédaction du bulletin. Comment sont organisées les missions deSolidarité Mondiale ? Pour la réalisation des projets que nous soutenons, dans la mesure du possible, nous utilisons les compétences locales. Les rares missions du Solidarité Mondiale sont de courte durée (2 à 3 semaines) et nécessitent auparavant un véritable engagement au service de Solidarité Mondiale. Depuis 1982, Solidarité Mondiale n'a financé que 5 missions réalisées par les administrateurs en charge des dossiers eux-mêmes, et une mission technique. Quelle est la procédure normale à suivre pour pouvoir bénéficier du financement d'un projet ?
La participation financière à la mutuelle est-elle déductible de l'apport personnel pour le financement d'un projet par Solidarité Mondiale ? La cotisation est une chose ; le projet est une autre
chose. SOLIDARITE MONDIALE CONTRE LA FAIM utilise l'Espéranto. Pourquoi ? Dès la création de Solidarité Mondiale, en 1982, l'Espéranto a été choisi comme langue officielle. Notre solidarité est orientée vers le monde entier. Partout dans le monde il y a des gens qui vivent difficilement. Souvent la difficulté est liée au niveau de vie, à la capacité personnelle d'assurer la nourriture à soi-même et aux membres de sa familles. Les causes peuvent être diverses, de même que les réponses et les solutions. Dans notre organisation, nous proposons aux gens de se solidariser quel que soit leur pays, pour qu'ils se disent leurs difficultés, leurs essais, leurs projets, leurs succès ou leurs échecs. Est-ce que nous, fondateurs de l'organisation, pouvions assurer cet échange sans frontières par une langue limitée ou par une langue impérialiste qui a tendance à imposer des modèles culturels à des communautés humaines en se présentant hypocritement comme langues de communication internationale ? Evidemment non ! C'est pourquoi nous utilisons la seule langue qui est vivante et neutre pour la communication sans frontières, nous avons nommé l'Espéranto. L'action des utilisateurs de l'Espéranto est dans la vie culturelle la même que la notre relativement à d'autres domaines : effacer les frontières et les dominations entre les sociétés par une outil qui ne s'impose pas aux cultures locales. Cela coïncide parfaitement avec notre conception de la lutte pour le progrès. L'Espéranto est la langue officielle de Solidarité Mondiale contre la Faim. Mais nous n'imposons pas l'Espéranto à ceux qui ont faim ! Nous étudions les projets dans la langue de nos correspondants et nous les informons par notre bulletin "MONDA SOLIDARECO" - titre unique en Espéranto pour toutes nos éditions, actuellement l'Espéranto, le français et l'espagnol. MONDA SOLIDARECO signifie "Solidarité mondiale". Solidarité Mondiale contre la Faim a environ 1300 membres dans 32 pays. Un effet important de notre action est que beaucoup de personnes ont appris l'Espéranto grâce à nos activités, et même des dizaines de nos membres s'abonnent à deux éditions : l'Espéranto + l'édition espagnole ou française. Symbolique pendant plusieurs années, l'Espéranto est maintenant devenu l'une des langues de travail : de plusieurs pays nous sont arrivées des demandes de financement de projets de développement en Espéranto, dernièrement d'Ukraine, du Bénin, du Nigeria et de Tanzanie. | ||
|