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" L'action de l'homme sur son milieu a des répercussions qui dépassent largement les frontières artificielles des États ", affirmaient les Citoyens du Monde dans les année 70. En 1972, Josué de CASTRO, premier délégué élu au Congrès des Peuples, déclarait, au nom de cette instance transnationale, à la conférence de Stockholm que " la pollution de l'air et des rivières ignorait les frontières. Nous demandons, disait-il, aux délégués des États réunis à Stockholm de prendre conscience de l'impossibilité dans laquelle ils se trouvent d'uvrer d'une manière efficace en faveur de la seule solution qui assurerait la survie de l'humanité : la création d'Institutions Mondiales fondées sur des délégations partielles de pouvoir de la part des États-nations, car la biosphère ne peut être protégée que par une loi mondiale. " En 1974, les délégués élus au Congrès des Peuples, constatant le gaspillage des richesses vitales, demandaient la création d'Institutions Mondiales chargées d'assurer l'exploitation rationnelle des matières premières non-renouvelables et des sources d'énergie non-polluantes. Ils affirmaient que, seule, une solution mondiale pouvait résoudre ces problèmes de survie mondiale. En 1982, les délégués élus au Congrès des Peuples réaffirmaient que l'énergie nucléaire civile laissait non résolu le problème de la résorption des déchets radio-actifs, dangers pour les générations futures,
En 1986, la preuve est faite, TCHERNOBYL, catastrophe sans frontières, donne, hélas, raison aux mondialistes, l'ai mondial, l'eau mondiale, éléments sans frontières, ne peuvent être protégés qu'au niveau mondial. Mais ces solutions supposent une érosion de la sacro-sainte souveraineté nationale ! |
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