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Registre des Citoyens du Monde - Assemblée - Délégués élus

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Georges KRASSOVSKY
Décédé

 Présentation - Programme

Apatride - a vécu en France

Résumé biographique:

On vient de nous informer que notre ami Georges Krassovsky est décédé le 4 juin dernier dans sa 96ème année.

Homme d'une droiture exemplaire, d'un humanisme novateur et à l'esprit libre, il aura traversé l'existence laissant derrière lui d'innombrables traces tant dans les souvenirs que dans les organisations.

Arrivé des pays de l'Est au moment de la 2ème guerre mondiale, "apatride", il considérait comme un luxe d'avoir une nationalité.

Les plus anciens écologistes se souviennent de lui comme l'auteur de la marée verte qui a envahi l'Europe à la fin des années 70. "Que chacun arbore un carré de tissu vert afin de marquer son attachement à la qualité de l'environnement". Il en reste aujourd'hui que le vert a fait l'unanimité pour représenter le combat écologiste. Il restait en lien avec Jerry Bourgeois, animateur du CILAME.

Les pacifistes se souviennent de lui comme d'un cycliste infatigable, ralliant Paris à Moscou et plusieurs villes de l'URSS pour susciter des actes de paix... et pourtant, nous avait-il dit, "je n'aime pas le vélo", mais c'était un moyen de médiatiser son combat.

Ces dernières années, il avait voulu créer une marée blanche : des carrés de tissu blanc pour signifier "on ne tue plus" ! Il portait d'ailleurs en permanence un insigne blanc à la pochette de sa veste.

Il a proclamé haut et fort la nécessité de la citoyenneté mondiale dans différents articles publiés dans "le nouvel humanisme" ou dans "Esprit Libre", les deux publications qu'il éditait à ses frais.

En 1994, il était élu au Congrès des Peuples, collaborant de très près avec Renée Marchand. En 2003 Georges avait participé à la session du Congrès des Peuples, participant à la création de l'Assemblée Consultative auprès du Congrès des Peuples, afin de valoriser la parole des citoyens.

Fin 2009, il nous avait annoncé qu'il allait "tirer sa révérence".

Daniel Durand


Merci . demain , au Centre opérationnel de la force nucléaire , de 8 h à 9 h nous penserons à Georges dans sa lutte conttre l'arme nucléaire ;
Serge Levillayer


Une belle figure qui s'en va...
Jacques Lambalais


Et quoi dire sur la mort de notre cher ami et frère Georges!!! Et la mort!!!

Cher Georges, les liens qui unissent toute l'humanité font qu'à chaque fois, une partie se retranche pour vivre dans le Macroscome laisse des blessures à ses familiers, ses amis etc.

Nous citoyens du monde sommes tes compagnons de lutte. Et donc qui vient de nous quitter pendant que, la lutte que nous menons d'unir les humains n'a pas encore une issue favorable; les politiques divisent les hommes; ils les rendent ennemis des hommes.

Georges, moi Alphonse, je sais que la mort n'existe pas c'est le soleil qui se couche à l'ouest et qui, va se lever à l'est demain matin.

Vous avez ancré l'humanité, l'égalité des droits entre les homes. Vous avez cru que et été convaincu que qu'il n'y a pas des races supérieures à une autre...Ces idées ont empli votre coeur...Etant donné que, le rêve n'était encore une réalité, moi Alphonse croit que, vous allez revenir un jour achever ou poursuivre votre lutte.

Que les Anges de la paix, accueillent votre âme selon vos mérites afin que, vous traversiez le seuil appelé mort sans détresse.

Puisse, l'Archange Zadkiel et ses compagnons vous inondent de la miséricorde de la Flamme violette, la flamme de transmutation afin que cette transition soit paisible.

Je demande aussi la paix pour les membres de votre famille que, vous accueillerez un jour avec joie.

Que votre disparition physique et temporaire soit un réconfort pour nous citoyens du monde afin de poursuivre la lutte et atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés "L'humanité Une"

JE SUIS Alphonse WASEKA citoyen du monde depuis Goma/RD du Congo.


Je suis bouleversé, j'ai rarement rencontré quelqu'un qui m'a autant marqué.

Il ne cherchait pas les titres, la reconnaissance, mais....il était reconnu parce qu'il agissait en tant qu'être humain digne et responsable.

A nous de le faire revivre à travers nos actes.

Roger Winterhalter

Qui sont les citoyens du Monde ?

La première constatation que l'on peut faire à propos des Citoyens du Monde est leur unanime adhésion aux valeurs humaines essentielles, telles que l'honnêteté, la justice, le respect de la vie et de la dignité de tout être humain. Ceci dit, il faut bien convenir que les Citoyens du Monde sont très divers. Parmi eux il y a des croyants et des athées, des gens “de droite” comme “de gauche”, des nantis et des indigents, des enthousiastes et des sceptiques. Ils ont néanmoins tous une commune aspiration à un monde uni, autrement dit à l'unité humaine. L'unité ne signifiant pas l'uniformité, cela exclut toute atteinte à la diversité des cultures et au droit des peuples à disposer d'eux mêmes.

Concrètement, cette option devrait se traduire un jour par la création d'une Fédération Mondiale des Peuples Libres, sur des bases strictement démocratiques, cela va de soi. Ce qui est à l'opposé de tout totalitarisme et de toute domination d'un peuple sur un autre ou sur les autres. Cette précision est extrêmement importante et mérite que l'on s'y attarde. Le mondialisme que professent les Citoyens du Monde n'a rien de commun avec un quelconque complot qu'il soit réel ou imaginaire, en vue de la domination du Monde, les conspirateurs le plus souvent désignés à l'Est étant les Juifs, les Francs Maçons, les Musulmans, les Catholiques, les Russes et les Américains; c'est suivant l'appartenance idéologique de celui qui agite tel ou tel épouvantail. Eh bien, il faut que l'on sache que les Citoyens du Monde condamnent toute prétention au leadership et à l'hégémonie. Les visées impérialistes, d'où qu'elles viennent, les horripilent. La réforme des relations internationales qu'ils proposent n'a rien à voir avec toutes ces velléités paranoïdes. Elle consiste au contraire à remplacer tout rapport de force (dominant dominé) par une Constitution Mondiale qui serait à la base d'une jurisprudence transnationale et qui garantirait à tous les peuples la sécurité et l'indépendance.

Une autre mise au point qu'il est nécessaire de faire d'emblée consiste à préciser que les Citoyens du Monde ne sont constitués ni en association, ni en parti, et encore moins en secte. Et si c'est un mouvement, c'est avant tout un mouvement dans les esprits et dans le coeur des gens. Un mouvement vers la paix, le désarmement, la non violence, le respect des Droits de l'Homme, la sauvegarde de la nature, la défense des valeurs culturelles, la prospérité pour tous. Tous ces objectifs seront atteints le jour où, dans tous les pays, il y aura suffisamment de citoyens qui parviendront à penser et à agir indépendamment en tant que Citoyens du Monde et non servilement, en tant que pions que l'on peut facilement manipuler et dresser les uns contre les autres.

Quelques mots encore au sujet du développement du mouvement des Citoyens du Monde dans les pays de l'Europe de l'Est. Il faut éviter que cela y prenne la tournure d'un embrigadement selon les méthodes communistes ou fascistes. Donc pas de propagande tambour battant, pas de prosélytisme. Il ne faut surtout pas chercher à convaincre ceux qui se montrent sceptiques ou réticents. A quoi bon ? Tout être humain qui atteint la maturité d'esprit est en mesure de comprendre que, du fait d'être né sur cette planète, il est déjà d'office un Citoyen ou une Citoyenne du Monde. Il se comportera donc en conséquence, sans avoir besoin de directives ou de mots d'ordre de qui que ce soit. Quant aux immatures, pour ne pas dire aux infantiles, il vaut mieux les laisser “mûrir”, leur adhésion purement formelle au mouvement ne pouvant qu'être préjudiciable à ce dernier. Par conséquent, il n'y a pas lieu de se polariser sur le nombre des Citoyens du Monde, le vrai problème consiste non à en recruter le plus possible, mais à donner à ceux qui se déclarent déjà tels la possibilité de se rencontrer. Ce qui revient à dire qu'il faut créer partout où il y a des Citoyens du Monde (et il y en a partout!) des Centres locaux dans lesquels ils puissent se retrouver. Une fois réunis, c'est tout naturellement qu'ils vont prendre des initiatives et envisageront toutes sortes d'actions destinées à témoigner de leur solidarité avec tous les habitants de la Terre.

UNE ÉLITE QUI S'IGNORE

Quitte à paraître une fois de plus prétentieux, je tiens à dire que je suis fermement persuadé de faire partie d'une élite, celle que représentent les Citoyens du Monde. Il ne fait pas pour moi l'ombre d'un doute que ce sont là les hommes et les femmes les plus intelligents de notre temps. N'est il pas notoire, en effet, qu'ils ont été les premiers à comprendre que la voie mondialiste est la seule issue possible à l'inextricable complexité des problèmes du monde moderne ? Problèmes consécutifs à la division de l'humanité en Etats-nations, tous engagés dans une impitoyable concurrence économique et une absurde course aux armements. La solution, selon toute évidence, consiste à limiter la souveraineté des États au profit d'instances mondiales supranationales, dont les prérogatives pourront être établies par la suite, l'essentiel étant que lesdites instances soient élues démocratiquement et aient une base fédérative.

L'excellence des Citoyens du Monde ne se limite toutefois pas à leur supériorité intellectuelle, elle se révèle également par leur qualité de cœur. Le mondialisme n'est pas seulement une construction mentale qui satisfait un besoin de clarté et de logique, c'est au moins autant l'aspiration à mettre un terme à toutes les souffrances humaines consécutives à l'antagonisme des États : les guerres, la misère, la criminalité, la dégradation de l'environnement. Considéré sous cet angle, le mondialisme apparaît comme une version ultime de l'humanisme.

Il est grand temps que les Citoyens du Monde prennent conscience de la valeur qu'ils représentent et de la responsabilité qui leur incombe. Dispersés à travers le monde, souvent méconnus dans leur propre pays, ils n'en constituent pas moins l'avant garde de l'humanité, un gage de survie pour l'espèce humaine tout entière. Le 3ème millénaire sera mondialiste ou il n'y aura plus personne pour célébrer le 4ème...


Les entraves au mondialisme

Comment peut-on ne pas être d'accord avec les options mondialistes ? Il y a là, à la fois une affirmation de l'Unité Humaine et une ébauche de solutions à tous les problèmes et conflits consécutifs à la division de l'humanité en Etats souverains. C'est tellement logique et sensé ! C'est du bon sens même, du "sens commun"! Mais alors, comment se fait-il que tout le monde ne soit pas mondialiste ? Qu'est-ce qui empêche l'adoption du mondialisme par tous les Etats de la planète ? Quelles sont les entraves à sa réalisation ? Si nous parvenions à répondre à ces questions et à y voir clair, nous pourrions peut-être, par cela même, hâter l'avènement d'un Monde Uni.

Me considérant depuis toujours Citoyen du Monde, j'ai beaucoup réfléchi à ce sujet et ma conclusion est qu'il existe actuellement trois principales entraves à la mondialisation effective des grands problèmes qui se posent à l'humanité en cette fin de siècle :

1) Il y a dans tous les pays du monde un certain nombre de personnes qui tirent des avantages substantiels de la division du monde en Etats souverains et, notamment, celles qui ont pour charge de les gouverner. Ces personnes ont le plus souvent accédé au pouvoir parce qu'elles en avaient le goût. Aussi, elles n'ont évidemment pas envie que ce pouvoir soit tant soit peu remis en question ou diminué. Il n'y a, par conséquent, rien d'étonnant qu'elles fassent la sourde oreille lorsqu'on parle de mondialisme et que parfois même elles le combattent au nom des "intérêts supérieurs" de l'Etat et de la Nation. L'ennui, c'est que dans certains cas, ce parti pris "nationaliste" trouve une sorte de justification du fait qu'il existe une deuxième entrave au mondialisme qui est :

2) Une disparité économique criante entre les Etats riches et les Etats pauvres, notamment entre ceux de l'Europe de l'Ouest et de l'Europe de l'Est et, grosso modo, entre le Nord et le Sud. On comprend fort bien que la majorité des habitants des pays dits "nantis" ne souhaitent pas du tout que les frontières de leur pays soient ouvertes toutes grandes aux ressortissants affamés du tiers-monde. Ce serait pire qu'une invasion de sauterelles et cela aboutirait à brève échéance à ce que tout le monde, y compris les nouveaux venus, soient plongés dans la misère la plus noire avec son cortège habituel de violences et de crimes.

3) L'expérience prouve qu'une bonne entente n'est possible qu'entre les Etats à régime démocratique et dans lesquels sont au moins respectés les Droits de l'Homme relatifs à la liberté d'expression. Or, actuellement, c'est encore loin d'être partout le cas. Et comme les Etats totalitaires sont, par leur essence même, hostiles à une quelconque limitation de leur souveraineté... on n'est pas près d'être sortis de l'auberge !

Tels sont les faits. On aurait toutefois tort d'en déduire que les mondialistes poursuivent un idéal qui ne saurait être atteint, qu'ils proposent une "utopie" qui ne pourra jamais être réalisée. Un tel pessimisme est sans doute injustifié. Une union à l'échelle planétaire est possible, mais pour y parvenir il ne suffit pas de prêcher les bons sentiments de fraternité et de solidarité humaine. Il faut oeuvrer pour faire disparaître les entraves qui empêchent sa réalisation. La prise de conscience de ces entraves nous indique en même temps la voie à suivre. Ou, plus exactement, trois voies, à la fois distinctes et convergentes.

1) Contribuer à l'élévation du niveau intellectuel et culturel des masses, afin qu'il y ait davantage de gens qui apprennent à penser par eux-mêmes et qui échappent, de ce fait, aux manipulations d'habiles démagogues qui cherchent toujours à "diviser pour régner". Leur "règne" prendra fin de lui-même lorsqu'il y aura moins d'adultes "infantiles" pour les suivre. C'est donc une question de maturité et cela dépend essentiellement de l'éducation que l'on donne aux enfants. Or, on conviendra qu'il y a beaucoup à faire dans ce domaine, si l'on veut que l'école devienne réellement un "instrument de paix". C'est tout un art de former les enfants sans les déformer.

2) Oeuvrer au relèvement économique des pays dits "en voie de développement". Ce qui est un euphémisme lorsqu'il s'agit des pays dont la population souffre de la misère et de la faim. Une aide "humanitaire" dans certains cas extrêmes est, certes, la bienvenue, mais la vraie solution consiste à ce que ces pays n'aient plus besoin de l'étranger pour satisfaire les besoins essentiels de la population. Le désarmement de ces pays, sous la garantie de l'O.N.U. en cas d'agression, pourrait y contribuer grandement, car cela permettrait de hâter la formation de cadres et l'application des progrès techniques. Il faut veiller toutefois à ce que ce relèvement du standing de vie des couches sociales les plus défavorisées n'aille pas aux dépens de l'environnement. Et là, les mondialistes auraient un rôle de premier plan à jouer, en proposant une législation mondiale et supranationale de défense de l'environnement.

3) Promouvoir la démocratie partout où elle n'est pas encore instaurée et la défendre partout où elle est menacée. Or, pour qu'une union à l'échelle planétaire puisse se réaliser, il est impératif qu'au préalable la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme soit universellement adoptée et appliquée. C'est vraiment une condition sine qua non.

Il ressort de ce qui précède que l'adhésion au mondialisme implique forcément le soutien aux actions politiques en faveur d'une éducation humaniste, du tiers-monde, de la paix, du désarmement, de l'environnement, de la démocratie, des Droits de l'Homme et du Droit des Peuples à disposer d'eux-mêmes. Vaste programme, mais aussi combien indispensable si l'on souhaite que le beau rêve d'une Fédération Mondiale des Peuples Libres soit un jour autre chose qu'une chimère.

 

 

Hommage rendu le 10/10/2018

Rappel du parcours de Mr Krassovsky :

Un esprit de vérité au service de l'individu : voilà comment nous pourrions qualifier Georges Krassovsky, ce penseur unique, libre comme le souffle de vie, de bon sens et d'intelligence qu'il a -répandu- pendant plus de 40 ans.

Paix, désarmement, protection de l'environnement et de toute vie, tels sont les maîtres mots de cet humaniste qui n'a cessé d'interpeller les consciences un peu partout dans le monde, parcourant ainsi près de 60 000 kilomètres à vélo.

Désireux de promouvoir l'individu dans son unicité, Georges fonde en 1958 le journal “l'Esprit Libre”, puis en 1970 “le Combat pour l'Homme” qui deviendra, dix ans plus tard, “le Nouvel Humanisme” prônant le respect de la vie sous toutes ses formes.

Pour cet humaniste pacifique, la meilleure contribution que nous puissions apporter à la Paix consiste à rechercher l'épanouissement de « notre nature profonde qui n'est qu'harmonie » et qui, de ce fait, n'aspire qu'à la paix, l'équilibre, l'amitié, l'amour.

Une harmonie qui rejaillit d'elle-même « dans nos âmes et dans nos relations avec autrui » dès lors que nous cessons de l'entraver par nos conditionnements sociaux et familiaux et que nous redevenons des esprits libres.

Pour cela, il est d'abord indispensable que les êtres parviennent à s'aimer eux-mêmes en refusant notamment de vivre dans une dualité “egolâtre” ou “egophobe”. Il faut qu'ils apprennent à se réconcilier avec leur ego car « la vraie réussite de la vie en chacun de nous, dit-il, consiste à trouver un accord harmonieux entre nos tendances égoïstes et altruistes ».

Un désir d'unité résolument humain dans lequel l'amour de soi devient compatible avec l'amour de l'autre, la liberté individuelle avec l'harmonie collective.

On l'avait compris, pour Georges K, « la réalité c'est l'individu… qui sent et qui pense par lui-même ».

D'où l'importance de la “non-appartenance” morale à un groupe ou à une étiquette. Condition nécessaire pour retrouver le besoin naturel de vivre en harmonie avec l'ensemble du monde vivant et de cesser de soutenir tous les chefs d'état “mégalomanes”.

C'est dans cet esprit qu'il a lancé le “Pacte du Fol Espoir”, donnant la possibilité à chacun d'opter pour la Paix en affichant des rectangles ou des insignes blancs.

Plus largement, l'humanisme de Georges devrait se traduire par l'avènement d'un « fédéralisme mondialiste et démocratique ayant pour objectifs la défense des valeurs culturelles des peuples et l'émancipation de l'individu en tant que Citoyen du Monde ».

Bref, il faut lire, lire et relire les écrits de ce libre penseur qui n'est pas plus un intellectuel se complaisant dans des considérations mentales et stériles, qu'un mordu de l'action pour l'action.

Georges est l'Ami qui dépoussière, avec autant de pertinence que d'humanité, ce que nous recelons de plus précieux : notre potentiel créateur d'harmonie.

Merci à cet ambassadeur de la Vie, merci à cet homme de Foi !

"Parler et agir en tant qu’individu et non en tant que membre d’un groupe."

Guillaume Besset

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