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Registre des Citoyens du Monde - Assemblée - Délégués élus

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Réunion du mardi 30 janvier 2018

Paris
66 boulevard Vicent Auriol (73013 - métro ligne 6 "Chevaleret")

Compte-rendu succinct (en attente de rédaction)

Présents : Nathalie Kesler, Laurent Son, Daniel Durand, Josiane Rivet, Jean-Luc Bruniaux et Mme, Malika Dafer-Laisney, Bernard Drobenko,

Ont suivi en direct : Eléonore Randrianarisoa, Ursula Grattapaglia, Roger Winterhalter, Hocine Taferrant, Dominique Simeone,

Se sont excusés : Jean Verstraeten, Luc Delcroix,Chris Hamer, Inès Guerrouj, Jacques Pécher, Jean-Francis Billion,

Ont envoyé un message : René Wadlow, Bernard Drobenko, Richard Maxheim (3)

Ouverture à 14 h 00

Conseil fédéral du Registre des Citoyens du Monde

  • Album des 70 ans, visioconférences - vidéos,
  • Règlement Fédéral : approbation partielle
  • Élections au Conseil fédéral : méthode et calendrier
  • Les Centres d'Enregistrement, les Correspondants et Officiers du Registre
  • Cartes d'identité et attestations d'enregistrement
  • Archivage

Conseil des Territoires Citoyens du Monde

  • Kashusha (Sud-Kivu, R.D.Congo)
  • Diffusion des certificats de mondialisation
  • Les Correspondants des Territoires
    • rappel du rôle des correspondants
  • Chartes de mondialisation en attente.

Divers

  • Thèse de Malika Dafer-Laisney : "le vote : un agir politique citoyen et une action raisonnée". (annexe 2)
  • Livre de Marcel Mendez : On ne naît pas homme on le devient. Qu'est-ce que l'Homme ? ''
  • Réponse aux messages "chatés".

Pause de 10 minutes

Assemblée des Citoyens du Monde (ASCOP)

  • ABC du vivre ensemble (annexe n° 1)
  • CDM-70 : (annexe 3)
  • Manifeste pour la démocratie mondiale (annexe 4)
  • Journée des Citoyens du Monde - Journée de l'Unité Mondiale
  • 8 milliards de pas (Richard Maxheim)

Citoyens du Monde Paris-13 (association parisienne du Registre des Citoyens du Monde)

  • Bilan de l'activité parisienne pour les années 2016 et 2017

Comité pour le Congrès des Peuples

  •  Répertoire des organisations mondialistes
  • AMIP : coordination, édition et diffusion

 

Annexes

1. - ABC du vivre ensemble :

Contre le réchauffement climatique rien d'actuel ne sera suffisant.

Nous devons agir autrement.

L'innovation est partout. Agriculture, architecture, énergies nouvelles etc. Génial ! Les progrès sont gigantesques. On injecte même le CO2 sous terre dans les roches basaltiques. Mais simultanément, pour la croissance, l'emploi et le profit, l'économie détruit la planète. Nos chances seraient de 5% de laisser une planète vivable aux enfants qui aujourd'hui jouent dans les cours de nos écoles. Corrigeons cette folie !

Pour résoudre un problème, il faut en cerner les raisons.

Un investisseur qui se priverait de profits colossaux par souci de l'environnement ne ferait que les abandonner à son concurrent. Il préfèrera en profiter lui-même. De même, un patron généreux avec ses employés sera moins compétitif que son concurrent qui exploite les siens. Il fermera boutique. Le système interdit la bonté.

Le système nous oblige à exploiter toujours plus et sans fin la planète et l'humain.

Ce sont les règles du jeu économique qui nous obligent à détruire la planète. Nous manifestons contre nos employeurs quand ils nous exploitent, mais aussi quand ils nous licencient pour délocaliser, car ils ne nous exploitent plus. Cherchez l'erreur !

Nous ne réussirons pas sans innover aussi et surtout dans le domaine économique.

Il existerait une solution simple.

Pour être efficaces, frappons au portefeuille ! Instaurons des taxes dissuasives sur les produits polluants reversées en subventions incitatives à la consommation de produits vertueux. Redoutablement efficace, non ? De plus, personne n'y perdrait.

Prenons le cas des énergies fossiles.

Avec ce principe, les taxes actuellement payées sur l'essence et le diesel seraient réinvesties dans la recherche et l'aide à l'achat de véhicules propres. Sans aucun impôt supplémentaire, favoriser ainsi la recherche induirait de nombreux progrès technologiques qui entraîneraient une baisse des coûts. De plus, étant produites en plus grand nombre, les voitures propres verraient leur prix baisser pour être finalement moins chères que les voitures polluantes. Il en irait de même pour tout. Même l'insoluble serait résolu. Actuellement nous ne pouvons pas mettre un terme aux concessions pétrolières accordées en France sous peine d'énormes amendes. Ce principe répondrait au problème. Les pénalités à la pollution rendant ces produits hors de prix, ils seraient invendables. Les taxes redistribuées en subventions à la reconversion compenseraient même en partie le manque à gagner des exploitants.

Ce principe serait d'une double efficacité redoutable.

Avec les taxes, les produits néfastes seraient plus chers. Avec les subventions, les produits vertueux seraient moins chers. Acheter le produit le moins cher serait l'assurance d'acheter le produit le meilleur. Étant taxée car néfaste pour la planète, l'obsolescence programmée disparaîtrait. Nous n'inventons rien. Ce principe existe déjà, mais pas pour les bonnes raisons. Nous appliquons une taxe sur le tabac et depuis peu les sodas sucrés parce qu'ils coûtent cher à l'assurance maladie. Faisons-le pour dissuader le consommateur de nuire à sa propre santé, pas pour équilibrer le budget. La mesure serait mieux acceptée.

Quoi de mieux que la sanction financière doublée de l'incitation financière ? S'il n'est plus rentable de polluer, plus personne ne le fera. Si seules les activités vertueuses sont sources de profits, nous sauverons notre environnement. Ne reste qu'à faire savoir que le moyen existe, d'ici trois ans, de maîtriser nos émissions de gaz à effet de serre et toutes formes de pollutions ainsi que d'instaurer l'équité.

Tant qu'à faire, protégeons aussi l'homme !

Pourquoi limiter un principe à ce point performant ? Appliquons-le aussi au social ! Nous pouvons sanctionner les comportements antisociaux. Preuve en est que notre gouvernement envisage, pour favoriser les CDI, de sanctionner financièrement les entreprises qui ont trop facilement recours aux CDD. C'est ce que nous suggérons.

Sanctionnons ce qui nuit à l'humain ! À quoi bon sauver la planète et ne pas sauver l'homme ?

Mais suffit-il d'avoir une bonne idée ?

En économie, la spécificité d'une bonne idée c'est qu'elle n'est jamais appliquée. L'idée ne suffit pas. Il faut la faire adopter au plus tôt car de l'avis des experts il ne nous reste que trois ans pour plafonner nos émissions de gaz à effet de serre.

L'échec de la COP 23 est patent et il n'y a pas de plan B.

C'était prévisible. Comment préserver la planète quand votre système économique vous contraint à la détruire ? La solution existe. Sans en appeler au monde entier, à seulement 27 pays, en trois ans, nous pouvons réussir. Poursuivrons-nous dans notre torpeur ? Laisserons-nous à nos enfants, par manque d'envie, d'espérance et d'enthousiasme, la promesse d'inondations, de sécheresses, d'ouragans, canicules et frimas, de famines et exodes résultant du réchauffement climatique dont nous sommes les artisans ? La solution existe et est encore plus performante que nous ne l'avons expliqué. Une simple mesure suffit :

L'Ajustement des Balances Commerciales des pays membres de l'Union Économique Européenne entre eux.

L'ABC du vivre ensemble.

Il n'est pas si simple de divulguer une idée.

C'est pourquoi il nous faut faire savoir à tous qu'une solution existe pour qu'elle soit portée par des personnes connues. Une idée ignorée n'a aucune chance d'être adoptée. C'est à vous, les quelques-uns qui lisez ce texte, d'informer vos amis, vos proches. Qu'ils soient de droite, de gauche, du centre ou des extrêmes, tous souhaitent un bel avenir pour leurs enfants. Là est l'avantage de l'idée généreuse. Son humanisme en fait l'outil de la convergence pour chacun-e de nous. Nous pouvons même aller plus loin et instaurer un monde d'échange de bons procédés. C'est expliqué sur notre site : http://abcduvivreensemble.free.fr

Vous pourrez y soutenir une proposition qui, différemment des autres pétitions, n'exige pas que l'ABC du vivre ensemble soit appliqué, mais qu'il soit soumis à la critique de nos experts et qu'ils nous disent si l'ABC est bien le meilleur outil pour lutter contre le réchauffement climatique, faire de notre économie agressive une économie généreuse d'échange de bons procédés, remplacer le dumping par le progrès social, et instaurer une véritable Démocratie Prédominante.

La certitude étant établie, nous construirons alors un nouvel avenir de générosité. Merci de divulguer au plus tôt, sans modération et par tous les moyens possibles. C'est l'avenir de nos enfants qui en dépend. Le temps nous est compté. Bel avenir à toutes et à tous. ABC du vivre ensemble.

 


Annexe 2.

Le vote : un agir politique citoyen et une action raisonnée, par Malika Dafer-Laisney.

Résumé

Associé à la démocratie représentative, le vote en France est souvent observé à travers ses résultats (chiffre d’abstention, du vote blanc, inscription ou non inscription sur les listes électorales, etc.), ce qui laisse entendre que le fait démocratique serait caractérisé par les suffrages exprimés. Or, pour le citoyen le vote a un sens qui va au-delà du rituel des urnes. En tant que Sujet socio-psychologique, il vote en agissant autour d’enjeux fondamentaux dans le but de construire et de se construire par un acte puissant et utile en confirmant son histoire.

Pour comprendre la signification du vote en tant qu’agir politique articulé à de nombreux agir (s) sociaux, eux-mêmes reposant sur des fondements psychologiques de l’agir humain, nous nous sommes positionnés en amont et en aval de la dynamique électorale et envisagé le comportement votant en fonction des connaissances, des croyances, des prédispositions normatives, affectives, bref, de l’attitude qui le sous-tend. La question générale de notre recherche est de décliner les conditions qui construisent le comportement votant.

Mots clés : vote, agir citoyen, action raisonnée, politique, démocratie, abstention, prédispositions, croyances, connaissances, attitudes, comportement, volonté…  


Annexe 3.

Du samedi 17 au lundi 19 novembre 2018

Un ensemble de manifestations, déclarations, expositions, scènes artistiques, ... telles que suggérées ici (dans le désordre) :

  • Commémoration de l'intervention à l'ONU de Garry Davis du 19 nov. 48
  • Manifestation sur le Parvis des Droits de l'Homme, au palais de Chaillot. (Si disponible).
  • Journée Parlement mondial, projection du film de Garry Davis, réalisé par A. Kanegis et M. Bennet.
  • Inauguration de Pangée Paris et des autres Pangées d'autres pays (que l'on doit lancer avant bien en amont= cf. tract G200)
  • Tables rondes : la Marche des CdM, l'Assemblée constituante mondiale, etc.
  • L'association des CdM organise plusieurs interventions en partenariat avec un ensemble d'associations.
  • Concours de textes et de dessins
  • Ainsi que : projection de films, ventes de produits, expos, festivals interculturels (le soir), chants, musique, concerts, etc.


Annexe 4.

Manifeste pour la Démocratie Mondiale

Le 19 Novembre 1948 Garry Davis, et Robert Sarrazac, interpellaient les représentants à l'ONU pour exiger la convocation d'une Assemblée Constituante Mondiale, en indiquant que s'ils échouaient à cette tâche, une Assemblée des Peuples surgirait des masses mondiales.

65 ans après nous/vous, Citoyens du Monde, construisons cette Assemblée des peuples.

Pour la paix entre tous, une représentation démocratique de la population mondiale qui vote les régles est nécessaire.

Vous êtes des centaines de milliers à vous être enregistrés comme Citoyens du Monde, vous êtes des milliards à vous sentir appartenir à la même planète.

Lançons cet appel à tous les habitants de la Terre, faisons vivre et grandir notre assemblée des peuples pour qu'elle devienne le lieu du rassemblement, pour la paix.

Citoyens du Monde, signez cette appel et propagez le."

Assemblée des Citoyens du monde


Messages reçus

René Wadlow :

Chers Amis, je souhaiterais vous adresser mes meilleurs vœux pour votre réunion et, à cette occasion, mettre en avant trois questions d’importance, la deuxième pouvant faire l’objet d’une discussion entre les personnes présentes.

– La première de ces questions est celle de mes articles, que vous avez l’amabilité de reproduire. Certains d’entre vous les publient en « lien externe », l’article apparaissant tel que publié sur notre blog www.awcungeneva.com. Bernard Henry, qui gère ce blog, trouve en règle générale deux photos ou plus en lien avec l’article, ce qui le rend plus plaisant à lire. C’est pourquoi je pense qu’il serait préférable que tous mes articles soient désormais publiés comme « liens externes », surtout s’il s’avère qu’un public suffisamment large vient à les lire.

– Les deuxième et troisième questions pourraient être soumises aux participants. Juste après Noël, j’ai vu la version finale du film d’Arthur Kanegis The World Is My Country (Mon pays, c’est le monde). Ayant fait la connaissance de Garry Davis en 1955, après qu’il était revenu aux Etats-Unis après avoir séjourné en Inde, j’ai été ravi d’y voir des photos de cette époque. Nous étions alors autrement plus jeunes !

Pour ceux qui ont connu Garry, cela vaut la peine de voir le film ; il serait également utile d’en acquérir un exemplaire pour le projeter en France. Cependant, je ne pense pas que ce film puisse servir au recrutement de nouveaux Citoyens du Monde. Il y est mis une emphase trop importante sur le Passeport mondial, non pas en tant que symbole de la Citoyenneté Mondiale mais en avançant qu’il serait un document de voyage et d’identité valide et reconnu. Certaines personnes qui en achètent un le font non pas parce qu’elles souscrivent à une idéologie Citoyenne du Monde, mais parce qu’elles ne possèdent pas de papiers d’identité valides, et lorsqu’elles utilisent les papiers de la World Service Authority comme tels, cela finit mal pour elles.

Etant donné que nous célébrons cette année le 70ème anniversaire des événements de 1948, le film pourrait être montré aux « fidèles », dans le cadre d’une discussion sur l’état de notre mouvement 70 ans plus tard, mais pas forcément à un public plus large.

– Ma troisième question porte sur l’Afrique. Etant donné qu’il s’était tenu un échange de correspondance sur l’intérêt d’une carte de presse pour Citoyens du Monde en Afrique, j’ai recherché des articles écrits par des Africains sur le site du Registre et je n’en ai pas trouvé. Je n’ai peut-être pas regardé dans les bonnes rubriques, et pourtant, j’ai eu le sentiment d’avoir bien tout exploré. J’ai vu qu’un nombre important d’Africains détenaient des responsabilités dans l’organigramme du Registre, mais, comme je le disais, je n’ai pas trouvé d’articles publiés dans la presse africaine ni de textes courts « Citoyens du Monde » traitant de thèmes africains. C’est pourquoi il serait utile d’aborder ce qui se fait en Afrique d’une manière ou d’une autre.


Bernard Drobenko

1.- Après avoir pris connaissance des divers documents, il me semble que, d’un point de vue juridique, il serait opportun de bien distinguer :

- Le Registre des Citoyens du Monde. S’il s’agit comme tu le souligne, Daniel, d’un outil technique, au service de l’ensemble de l’organisation, la question de sa place est claire.

En effet, dans ce cas, il paraît inopportun de vouloir lui conférer un statut et une organisation type « association ».

En effet l’outil technique est au service d’une organisation, il lui faut juste un ou plusieurs gestionnaires. C’est un outil technique, c’est tout. Dès lors ne se pose ni la question du statut (au sens associatif), ni la question d’un siège, le RCM est rattaché à l’organisation internationale.

Il paraît en effet inadapté de conférer à un outil « technique », la vocation à « préparer des élections » ou à avoir un objectif de « formation ». En revanche, il constitue l’outil de référence pour identifier des membres, un corps électoral et des candidats.

La question du siège, au sens associatif n’a pas à être posée, le RCM, outil technique est régit de manière opérationnelle par l’organisation fédérale, il n’a pas besoin, en tant qu’outil d’un siège en tant que tel.

Ainsi le RCM est régit par un « règlement » et non un « statut », rattaché au statut de l’organisation fédérale de « Citoyens du Monde ».

- Le fonctionnement et l’organisation « Fédérale Internationale de Citoyens du Monde » (FICM), en revanche doivent être travaillés de manière à répondre à l’objet et aux objectifs d’une structure internationale fédérative et des éléments qu’elle fédère.

Il s’agit nécessairement d’une structure répondant à ces éléments, le statut d’ONG paraît le plus adapté effectivement. Ceci suppose un siège, des moyens, une organisation, un fonctionnement etc…

En l’état du droit international, des droits régionaux et nationaux, il me paraît difficile d’échapper à ces aspects (...)

Commentaire : A bien réfléchir à tes observations, j'y adhère si on s'en tient aux principes. Et cela peut devenir une orientation à condition de consolider ce qui est autour du "service technique", afin de rendre possible la délégation dans un premier temps, et l'abandon dans un deuxième temps.

Il faut aussi voir cela sur le plan humain. Si on s'en tient à un simple "service technique", cela devient froid, il faut salarier les opérateurs. Or, les bénévoles qui s'engagent vers les objectifs du Registre ont aussi besoin de chaleur humaine, de solidarité, d'encouragements mutuels, de partages fraternels d'expérience

2.- Le travail que j’ai effectué pour préparer la réunion de janvier a été fort utile pour comprendre l’ensemble du dispositif.

Quel que soit le statut de « citoyens du monde », un outil technique d’enregistrement des citoyens du monde, il me semble que juridiquement l’ensemble du dispositif (Congrès, assemblée, registre) repose sur une faille (ou un malentendu). En effet, contrairement à ce que pensais, il n’existe pas de structure juridique « mondialiste » porteuse légitimant le dialogue notamment dans le cadre des organisations existantes (les Institutions internationales quasi exclusivement interétatiques).

Les questions planétaires (climat, démographie, biodiversité, ressources, démographie etc….) sont bien saisies par un ensemble de mouvement, la plupart étant « sectoriels » (droits de l'Homme, environnement, paix etc...). J’ai, avec d’autres, par ex. prôné pour une autorité mondiale en matière d’environnement. Mais ces questions méritent un autre regard qu’une organisation mondialiste « ad hoc » aurait vocation à se saisir, bien au-delà des intérêts très territorialisés des Etats.

Nos concitoyens, les citoyens du monde ne disposent donc pas de cette structure de référence, ce qui est dommage.

Je vois qu’il y a eu des initiatives en ce sens, elles n’ont pas abouti. Le Congrès et l’assemblée des peuples n’ont de ce fait pas de lisibilité.

Il y a là à mon humble avis un véritable chantier à ouvrir, le monde tel qu’il va avec ses replis successifs va devenir de plus en plus dangereux. La sagesse implique une approche mondiale, humaniste, écologique etc… une voie possible pour les citoyens…..


Richard Maxheim

1. cartes et attestations - La question est de savoir si vous avez encore besoin de la traditionnelle carte d'identité en carton. Il peut être plus facile d'émettre la carte plastique. Peut-être le menu traditionnel juste pour des occasions spéciales comme cadeau.

2. divers - Pour promouvoir l'enregistrement, nous avons un besoin urgent de nouvelles idées. Je propose donc la création d'un groupe de travail chargé de recueillir et d'analyser les nouvelles idées et de faire des suggestions quant à leur utilisation.

3.Un jour de l'unité globale ou de l'unité de l'humanité.
C'est un truc culturel. J'ai lu que le 20 mars est un bon moment pour cela. Je suis d'accord sans autre commentaire.
Une journée des citoyens du monde est une question politique particulière.
Nous avons une très bonne date pour cela: le 19 novembre. En ce jour de 1948, les citoyens du monde ont d'abord fait entendre leur voix devant les Nations Unies. Nous devrions proclamer cette journée Journée mondiale des citoyens.
Ce doit être un jour où chaque année, en tant que citoyens du monde, nous, officiellement et publiquement dans les médias, faisons entendre notre voix devant l'ONU et exprimons nos revendications politiques mondiales.


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