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ou le JOURNAL DES SANS FRONTIÈRES |
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Attention aux messages indésirables ! Les seules adresses de messagerie autorisées à communiquer au niveau des administrations du Registre des Citoyens du Monde et de l'Assemblée des Citoyens du monde - ASCOP - sont actuellement : monde@recim.org, as.citoyensdumonde@gmail.com et registre.cdm@gmail.com. Tout le reste n'est que "courrier indésirable" (spam). Un problème en "interne" : Depuis le début du mois d'octobre, quelques membres du Conseil Fédéral du Registre des Citoyens du Monde ont outrepassé leurs fonctions, telles que définies au Règlement Fédéral, pour entreprendre une refondation dont la nécessité n'a pas été démontrée. Cette refondation apparaît à certains comme rétrograde et de nature à décourager ceux qui s'activent pour la démocratie mondiale. Normalement la discussion et les initiatives auraient dû rester internes aux seuls collaborateurs du Registre des Citoyens du Monde, mais une personne seule, sans le consentement de ses collègues, a cru bon de divulguer son projet à des centaines de Citoyens du Monde qui, insuffisamment informées ne sont pas en situation d'évaluer le projet présenté. Il y a donc là une manipulation ou tentative de tromperie qui a ému un grand nombre de destinataires. C'est ainsi que le Comité pour le Congrès des Peuples a été saisi. Le Comité pour le Congrès des Peuples, fort de la délégation d'autorité dont il jouit, et de la compétence que lui attribue le Règlement Fédéral du Registre des Citoyens du Monde, a pris un arrêté invalidant les initiatives en question. Donc, si vous recevez encore des messages provenant de "Conseil Fédéral" "bdrob@8360776.brevosend.com" ou de "bdrob@orange.fr", n'en tenez pas compte, ou mieux transférez les à comcdp@recim.org. Les circonstances et l'arrêté complet sont consultables page : pv-comcdp-2024.htm
Pour une Autorité Mondiale des Océans Les océans, poumons de la terre, produisent la moitié de loxygène contenu dans latmosphère. Ils sont à lorigine de la vie sur terre. Aujourdhui, la poursuite dactivités humaines incontrôlées entraîne leur dégradation irréversible. Nombre dassociations, dorganisations non gouvernementales, dinstituts océanographiques, de biologistes, de climatologues, convergent pour nous rappeler lextrême urgence. Sans résultat. UN OCÉAN SANS DROIT NI LOI En effet, chacun constate la puissance démesurée des sociétés qui agissent à labri des frontières tracées par les États et en haute mer. Aucune gouvernance ne sexerçant, ces activités humaines transforment les mers en zones de non-droit, de pillage, de braconnage, décocides et de barbarie. Une multitude dorganismes, dagences internationales, de commissions sont en charge des questions de lOcéan Mondial. Elles saccordent pour dénoncer limpact de ces activités mais ne communiquent pas entre elles et sont impuissantes à agir. Elles ne bénéficient daucune délégation de pouvoir de la part des États. Dès lors que les océan forment un seul et même écosystème, une approche secteur par secteur, telle quelle existe à ce jour, est vouée à léchec. POUR UNE AUTORITÉ MONDIALE DES OCÉANS LOcéan Mondial est un bien commun de lhumanité. Il doit être protégé et placé au dessus des États-Nations, au dessus des frontières tracées par ces États. Il est urgent de protéger l'Océan Mondial par une Autorité unique, sous contrôle démocratique du peuple mondial et dotée de véritables pouvoirs de contrainte. Seule une véritable autorité supranationale assurera la protection de lOcéan Mondial. Texte
adopté à l'unanimité des personnes
présentes
"LES JEUX OLYMPIQUES SONT DES COMPETITIONS ENTRE INDIVIDUS ET NON ENTRE NATIONS " |
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