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Né en 1946 Résumé biographique :
Résumé de la déclaration d'intentions.
Je suis citoyen du monde depuis mars 1967, après avoir lu un encart publicitaire pour la promotion du mondialisme publié par le Centre français des Citoyens du Monde dans le journal Le Monde. Je fus un militant très actif du Centre français jusqu'à l'été 1969 en même temps que je militais au Mouvement contre l'Armement Atomique (MCAA) et dans le mouvement d'opposition à la guerre américaine au Viêt-Nam. Septembre 1969 : je suis parti au Sud Viêt-Nam en tant que coopérant puis j'y suis resté comme journaliste indépendant jusqu'à 1973. Militant peu actif du Centre français jusqu'en 1994, j'ai recommencé à participer régulièrement à ses activités à partir de 1995, en étant notamment co-rédacteur (avec Renée Marchand) du Bulletin trimestriel du Centre français (de 1997 à 2002) puis, après le décès de Renée, le rédacteur de ce même Bulletin de 2002 à 2006. Secrétaire général adjoint du Centre français de 2002 à 2004, j'en ai été le secrétaire général de 2004 à 2006. Responsable depuis 1984, du secteur " Asie du Sud-Est " dans une fondation française d'aide humanitaire et de défense des droits de l'homme (reconnue d'utilité publique) j'ai effectué de très nombreuses missions humanitaires dans cette région du monde, notamment au Cambodge e-t au Viêt-Nam. J'apporte un soutien militant (en participant à leurs campagnes et leurs manifestations publiques) et financier aux associations suivantes : Survival International, Agir pour l'Environnement, les Amis de la Terre, Sortir du nucléaire, Agir ici, et, spécifiquement pour la France, Arbres et Rouges et l'association contre l'heure d'été double. Enfin, j'apporte depuis des années un soutien uniquement financier mais régulier aux associations suivantes : les enfants de Tchernobyl, l'Association de solidarité avec Timor-Oriental, les amis des Manobos (minorité ethnique des Philippines), France-Palestine Solidarité, Réinsertion et Espéranto, l'Association pour la Promotion d'un machinisme moderne agricole à traction animale (Prommata) et, spécifiquement pour la France, opération Bel-Espoir, Handi-chiens, les Scouts de France (pour leur programme " Mosaïque "), les écoles Diwan (enseignement scolaire en breton) et les droits du piéton. Si je suis élu, je demanderai au congrès des Peuples de débattre des neuf questions suivantes et, à l'issue des échanges, de voter des Déclarations allant dans le sens que je propose. Si elles sont votées, ces Déclarations seront les positions officielles de l'assemblée mondialiste sur ces sujets. Elles seront ensuite largement rendues publiques puis remises ou adressées aux dirigeants des organisations internationales (ONU, AIEA, etc.) dans le but de les convaincre de prendre et de faire appliquer des décisions identiques à ces Déclarations, et en cas de refus, de démontrer les limites de leur pouvoir face aux États-nations. 1. Tous les fonctionnaires de l'ONU et des agences onusiennes (UNESCO, PNUD, etc.) doivent savoir lire, écrire et parler l'espéranto. Tous les casques bleus envoyés en mission de maintien de la paix devront suivre, avant leur départ, des cours d'espéranto, langue qui doit devenir la langue officielle de communication sur le terrain. 2. Débat sur les migrations internationales clandestines et les problèmes liés à ce phénomène mondial. Au nom du principe de précaution appliqué à l'échelle de la planète : 3. Création d'une Autorité Mondiale de l'Eau, responsable de l'exploitation, de la gestion et de la répartition de l'eau et de toutes les ressources marines ET sous-marines. 4) Interdiction de toute construction de nouvelle centrale nucléaire dans le monde aussi longtemps que le problème de déchets nucléaires ne sera pas résolu de façon absolument sûre et définitive. Interdiction de toute culture de plantes OGM aussi longtemps que les risques de contamination ne seront pas supprimés de façon absolument sûre et définitive. 5. Interdiction des " paradis fiscaux ". 6. Taxe sur tout ce qui est importé dans un pays dans un but de confort et de plaisir et non par nécessité. Par exemple, en Europe, taxe sur tous les bois importés de l'hémisphère sud et sur les haricots vers importés du Kenya. Taxe sur toutes les transactions financières internationales, sur toute vente d'or, d'argent, de diamants et autres pierres précieuses ainsi que sur toute vente d'objets contenant l'une de ces pierres ou l'un de ces métaux précieux dont la traçabilité devra être obligatoire. 7. En raison de l'épuisement prévisible des ressources énergétiques fossiles, allocation annuelle d'un quota d'essence à chaque famille et taxe sur l'essence achetée une fois ce quota épuisé. Les montants des taxes mentionnées aux points 6 et 7 devront être suffisamment élevés pour être dissuasifs. Ces sommes seront utilisées pour développer les énergies renouvelables, l'agriculture biologique, les reforestations et la relocation de l'économie. 8. Transport aérien : sur chaque billet d'avion, taxe d'un montant égal au coût moyen d'un vol pour une même destination (hors compagnies " à bas prix "). Ces sommes seront utilisées pour le développement de transports peu ou non polluants. 9. Débat sur " l'écologie grise ", c'est-à-dire " la pollution des distances, de la grandeur nature, des proportions et la contraction du monde, dont l'élément moteur est la vitesse " (....). Les dégâts de " l'information mondiale instantanée " sont moins visibles [que les accidents de train ou d'avion] mais bien plus graves. Le danger de l'informatique, c'est la possibilité d'un conditionnement immédiat des mentalités et des populations à l'échelle du monde. C'est une menace pour l'individu et la démocratie " (...) " C'est aussi ça, la bombe informatique : les activités réflexes remplaces les activités de réflexion. On réfléchit en commun, un réflexe, lui, est solitaire " (...) " Les télécommunications dissolvent la " grandeur nature " de la planète. Quand le temps réel l'emporte sur l'espace réel, on réduit le monde à rien. (...). D'ici deux ou trois générations, dans un monde devenu trop petit, nous éprouverons un sentiment d'incarcération ". (Paul Virilio) |
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