|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||
S M F |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||
Modes de paiements possibles:
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||
Le 10 décembre 2022, de 10 h à 11 h 30 : Assemblée Générale de SMF-Globidar-France
815 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde, dont 200 millions en Afrique. Migrants concentrés en Libye : Entre 400 et 700 000 migrants se trouvent actuellement en Libye, regroupés dans au moins 42 camps. A Tripoli même, dans un seul camp où les conditions de vie sont inhumaines, on a dénombré 3 800 migrants, majoritairement dAfrique de lOuest. Les chefs dÉtat réunis à Abidjan ont opté pour le rapatriement de ces migrants. Mais cela ne règle pas le problème : 60 % de la population africaine a moins de 25 ans et des centaines de milliers de jeunes sont désespérés par le chômage, la pauvreté et labsence de perspective dans leurs pays. Catastrophe humanitaire imminente au Kasaï Cette région du centre de la République Démocratique du Congo est en proie à de graves violences. Si les paysans ne peuvent plus aller aux champs en toute quiétude, linsécurité alimentaire sabat sur toute la population. On estime que 3.2 millions de personnes dans la région du Kasaï souffrent dinsécurité alimentaire sévère et ont besoin dassistance. 250 000 enfants pourraient mourir de faim au cours des prochains mois. Linsécurité est telle que même les secours ne peuvent pas atteindre ces populations. Le Programme Alimentaire Mondial (PAM, qui dépend de lONU) pense toutefois atteindre 500 000 personnes dans les prochaines semaines. Malheureusement, le PAM na réuni que 1 % des fonds nécessaires pour ce programme durgence. Burundi : Plus de la moitié des enfants souffrent de malnutrition, et parmi cette population un quart est déjà atteint de malnutrition sévère. Ce constat est dû aussi aux conditions de sécurité qui se sont dégradées au cours des derniers mois, mais aussi à une insuffisance déducation des mères : beaucoup essaient de suivre les recommandations de lOrganisation Mondiale de la Santé concernant lallaitement maternel, mais beaucoup ne savent pas comment passer à une alimentation solide lorsque le moment est venu. Burkina Faso. Daprès le gouvernement de ce pays, 3 millions de personnes sont menacées dinsécurité alimentaire. Cette situation est due à un arrêt précoce des pluies lors du dernier hivernage, et aux attaques des chenilles légionnaires.
Lors de sa réunion des 26 et 27 septembre 2015, le Conseil d'Administration Fédéral de Solidarité Mondiale contre la Faim a pris la décision de s'associer à cette Journée mondiale du refus de la misère. Ce refus s'applique bien sûr non seulement à cette journée mondiale, mais également à tous les jours de l'année, et toutes les années. 17 octobre 2015 : Journée mondiale du refus de la misère Sunir pour mettre fin à la pauvreté et à la discrimination Construire un avenir durable exige dintensifier nos efforts pour éliminer lextrême pauvreté et la discrimination, et pour assurer que chacun puisse exercer pleinement ses droits fondamentaux. La pleine participation des personnes vivant dans la pauvreté, en particulier aux décisions qui affectent leurs vies et leurs communautés, doit être au centre des politiques et des stratégies visant à bâtir un avenir durable. De cette façon, nous pouvons garantir que notre planète et nos sociétés peuvent répondre aux besoins et aux aspirations de tous et pas seulement à ceux de quelques privilégiés pour cette génération et les générations futures. Cette année, la Journée internationale pour lélimination de la pauvreté revêt une signification particulière puisque ce sera la première célébration après ladoption formelle des Objectifs du Développement Durable par lAssemblée générale des Nations Unies. Dans ce nouveau cadre de développement qui vise à remplacer et à poursuivre les Objectifs du Millénaire pour le Développement, tous les pays décident de mettre fin à la pauvreté dans toutes ses dimensions et sous toutes ses formes. Par conséquent, il est particulièrement bienvenu que le thème choisi par lOrganisation des Nations Unies en consultation avec des personnes vivant dans la pauvreté et des organisations de la société civile reconnaisse que tous doivent sunir pour mettre fin à la pauvreté et à la discrimination afin de construire un avenir durable au sein duquel les besoins actuels seront satisfaits sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs. Ainsi les modes actuels de production et de consommation ne sont ni une réponse aux besoins des millions de personnes qui vivent dans lextrême pauvreté ni durables. Un avenir durable nécessite au contraire un changement social qui respecte et protège les droits humains, la diversité culturelle et lenvironnement, qui réduise les inégalités économiques et qui permette partout linclusion sociale. Il nécessite une croissance économique qui ne pille ni ne détruise nos ressources naturelles ou dévalorise le travail, mais qui protège activement notre environnement et soutienne les droits des travailleurs. Le succès de cette transition vers une économie plus verte et plus équitable dépasse le simple recours au progrès technologique et à plus dinvestissements. Notre interdépendance économique, sociale et environnementale croissante exige que nous construisions aussi des relations durables et mutuellement respectueuses entre et parmi les individus, les communautés et les nations, et que nous partagions mieux les connaissances à tous les niveaux. Les politiques économiques et sociales, les stratégies et les priorités adoptées au cours des dernières décennies ont contribué à la dégradation de lenvironnement, à une croissance non durable à des inégalités et à une injustice sociale sans précédent. Elles doivent être changées ou abandonnées. Nous devons faire la distinction entre les activités qui devraient être encouragées parce quelles sont durables et répondent aux besoins fondamentaux de tous les citoyens, et les activités qui doivent être découragées parce quelles ne répondent quà des besoins superflus ou ne sont pas durables. Les gouvernements en particulier doivent garantir que les personnes vivant dans lextrême pauvreté ne soient plus obligées de travailler aux salaires les plus bas et/ou dans les conditions les plus difficiles, là où il ny a ni sécurité ni protection sociale. Nous devons tirer des enseignements des douloureuses leçons de la récente crise financière et économique mondiale à la suite de laquelle les politiques de relance qui soutenaient la protection sociale et les moyens de subsistance des personnes les plus vulnérables ont été remplacées par des mesures daustérité qui ont transféré le fardeau de lajustement sur les gens ordinaires, en particulier ceux qui vivent dans la pauvreté ou à la limite de la pauvreté. Alors que les gouvernements se précipitaient pour sauver les institutions financières qui étaient à lorigine du déclenchement de la crise, ils réduisaient en même temps de façon drastique les dépenses publiques, ce qui a aggravé en priorité la situation des personnes vivant dans la pauvreté. Il faut reconnaître que les personnes qui sont marginalisées ou discriminées socialement, économiquement, culturellement ou de toute autre manière, sont vulnérables non seulement aux impacts du changement climatique et à la dégradation de lenvironnement, mais aussi aux effets négatifs générés par les actions politiques engagées pour atténuer ou réduire ces impacts. Ainsi des politiques daugmentation des prix de la nourriture seront proportionnellement beaucoup plus défavorables aux personnes vivant dans la pauvreté. Par conséquent, il est primordial quà tous les niveaux, les actions visant à promouvoir un environnement durable respectent les Principes Directeurs des Nations Unies sur lextrême pauvreté et les droits de lhomme [1] pour garantir quelles naient pas dimpact négatif sur le public en général, et en particulier sur les personnes qui vivent dans lextrême pauvreté. Un monde durable ne peut exister quand subsistent la pauvreté, la discrimination et les violations des droits humains. Un monde durable ne laisse personne derrière. Le 17 Octobre de chaque année, nous sommes invités à démontrer, ce jour-là et tous les jours de lannée, la solidarité entre les personnes vivant dans la pauvreté et les gens de tous horizons, et comment nous travaillons tous ensemble pour combattre lextrême pauvreté et les atteintes aux droits de lhomme par le biais de nos engagements et de nos actions individuels et collectifs. Célébrée depuis 1987 comme Journée mondiale du refus de la misère et reconnue par les Nations Unies en 1992 [2] : la Journée internationale pour lélimination de la pauvreté promeut le dialogue et la compréhension entre les personnes vivant dans la pauvreté et leurs communautés, et la société en général. "Elle représente une occasion de reconnaître les efforts et les luttes des personnes vivant dans la pauvreté, une chance pour elles de faire entendre leurs préoccupations et un moment pour reconnaître que les pauvres sont à la pointe de la lutte contre la pauvreté.» (Nations Unies, Rapport du Secrétaire général, A/ 61/308, par. 58) Plus dinformations sur les commémorations organisées le 17 Octobre à New York et dans le monde sur : http://www.refuserlamisere.org et Cette présentation est extraite du site "refuserlamisere.org" |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||
Editorial de Monda Solidareco n° 114 Guerre alimentaire, Actions citoyennes: Solidarité Mondiale contre la Faim a pour objectif, entre autres, d'intervenir pour la préservation, l'augmentation et l'utilisation rationnelle des ressources alimentaires de l'humanité", en d'autres mots de veiller à la sécurité alimentaire. Cette sécurité alimentaire, l'accès à la nourriture est un droit humain fondamental, n'est pas réellement assurée pour toutes les populations du monde. Elle est même sérieusement menacée. La demande augmente fortement : la population mondiale croît et, en même temps, l'exigence d'une nourriture plus abondante et plus variée pour chacun implique qu'il faut produire plus. Or la production agricole est affectée par les changements climatiques : les pluies sont devenues irrégulières dans les régions tropicales, là où vivent les plus démunis, la désertification gagne du terrain, les espaces littoraux sont amenés à disparaître. La mécanisation et une production intensive, avec ajout de produits chimiques, ont permis d'accroître le volume de nourriture mais depuis la conférence de Rio en 1992 et le concept de développement durable, une exigence de respect écologique bouleverse, plus ou moins selon les régions, l'industrialisation de l'agriculture. À ces constats s'ajoute un exode rural, les paysans ayant des conditions de vie et de travail pénibles sont attirés par les villes où souvent l'existence est encore plus précaire. Il y a de moins en moins de petits producteurs de cultures vivrières, de maraîchers, de gens qui font vivre la terre. Tout ceci conduit non pas hélas à une solidarité fraternelle devant l'accès à la nourriture mais au contraire à du chacun pour soi, à des affrontements, à des accaparements de terre, à la déforestation. Des États achètent ou louent des terres fertiles pour anticiper le manque de nourriture prévu, d'autres cultivent dans des pays pauvres des aliments pour leur bétail ou des agrocarburants mettant hors de chez elles les populations autochtones privées ainsi de la terre qui les faisait vivre. Tout ceci sans parler des marchés commerciaux, des paris boursiers, des grands projets inutiles dévoreurs d'espace, des politiques qui font la part belle à la finance sans aucun respect de l'être humain. Ces difficultés à avoir accès à la nourriture engendrent de l'insécurité, de l'instabilité sociale et économique. Et pourtant ! SMF l'a toujours dit : la planète peut nourrir toute sa population, la faim n'est pas une fatalité ! Des réserves de terre fertile existent en Afrique, en Amérique latine, en Asie, ... des associations travaillent aux côtés des petits producteurs pour promouvoir une agriculture saine et raisonnable, une refertilisation de certains sols, le reboisement, ... des ingénieurs s'emploient à (ré)concilier agronomie et écologie, ... des citoyens se regroupent pour reconquérir leur terre, pour le droit à choisir ses semences : les femmes d'Ekta Parishad en Inde, les Bunong du Mondolkiri au Cambodge (expropriation des terres pour y implanter des hévéas au profit d'un groupe financier), les Indiens d'Amazonie, ... Un peu partout dans le monde des hommes, des femmes s'indignent, protestent et se réattribuent leurs choix de vie. Parfois par des actions médiatiques comme celles juste citées, parfois sans bruit, modestement mais toujours en pleine conscience citoyenne et en remettant l'Homme au centre des décisions. C'est là que se situe SMF en contribuant sans publicité à maintenir et à développer une production agricole de proximité par le financement de petits projets adaptés aux paysans car proposés et élaborés par eux et en harmonie avec les conditions locales. SMF est aussi toujours aux côtés de ceux qui tentent de garder un monde soutenable, humainement soutenable. Danièle Charier |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||
Début de la séance à 14h20 Personnes présentes : M. Henri Cainaud, Mme Danièle Charier, M. John De La Cruz, Mme Odile Durand, M. Daniel Durand, Mme Edwige Geniteau, Mme Claudine Tournier On décompte, 44 pouvoirs dont 20 non nominatifs. 11 au nom de M. Durand, 6 au nom de Mme Charier, 5 au nom de M. De La Cruz, 1 au nom de Mme Geniteau, 1 au nom de Mme Tournier. Les pouvoirs non nominatifs sont répartis entre les membres présents. Le précédent compte-rendu d'Assemblée Générale est approuvé à l'unanimité. 1 Rapport moral L'association Globidar France est une association support de l'association Solidarité Mondiale contre la Faim et lui donne une entité morale en France. On compte environ 200 adhérents en France sur 1500 dans le monde. Tous les adhérents paient une cotisation équivalente à minima d'une ration alimentaire/jour. Une exception cependant pour l'Afrique du l'Ouest qui a décidé que la cotisation serait de ~3 euros. Petit rappel : la commune de Nouaillé-Maupertuis, a toujours assuré son soutien à notre association en nous versant une subvention annuelle, et nous l'en remercions. Avec les élections, le nouveau conseil municipal n'a pas souhaité poursuivre ce soutien. 2 Rapport d'activités Des activités variées et assez riches ont eu lieu :
Le rapport moral et le rapport d'activité sont votés à l'unanimité moins une abstention. Henri Cainaud demande la parole et explique qu'il a apposé le logo de Citoyens du monde (sur sa voiture ou son porte-document), et nous rapporte l'expérience que cela suscite et les questionnements des personnes alentours. Cela lui a permis d'engager la conversation avec des inconnus et présenter la démarche des Citoyens du monde. Il suggère que la même chose pourrait être faite avec SMF. 3 - Rapport financier de Solidarité Mondiale contre l aFaim Il est présenté pour 2012 et 2013, l'AG de SMF-Globidar-France doit donner un avis sur les finances (art 6) Les entrées financières : année 2012 = 21 337 année 2013 = 20 705 Remboursements de prêts : année 2012 = 4 605 année 2013 = 2 928 Sorties : année 2012 = 12 424 année 2013 = 19 295 Remarque 1 : on note une baisse des entrées de 600 entre 2012 et 2013. Remarque 2 : Il est noté qu'en 2013, il y a eu des frais exceptionnels du fait des élections en Afrique de l'Ouest, des frais d'avocat, etc. L'association possède des comptes en Europe, un compte espérantiste, un compte Paypal, et trois comptes en Afrique. On note que les groupements remboursent quand ils le peuvent. En fonction du contexte politique, économique, climatique Les remboursements :
Frais administratifs : On note que les frais administratifs pour 2013 représentent 31,53 %. Cela s'explique du fait des raisons exceptionnelles évoquées plus haut (frais de justice, frais d'AG, d'élections, etc.). Mais les autres années, l'association respectent bien son objectif qui est de ne pas dépasser les 15 % en frais administratifs. Le rapport financier est voté à l'unanimité moins une abstention. 4 - Élections des membres du bureau Les 3 postes sont à pourvoir : président, secrétaire, trésorier. Les administrateurs sortants sont candidats. L'appel à candidatures n'a apporté aucune candidature supplémentaire. Résultats des votes : Sont élus à l'unanimité
Nous les félicitons, ils sont réélus pour 2 ans. 5 - Questions diverses Aucune n'est soulevée. La séance est levée à 15h45 Secrétaire de séance Mme Catherine Goupil
Les 14 et 15 novembre 2013, deux jours à la Cathédrale de Ouagadougou au Burkina Faso, 18 membres de la Solidarité Mondiale contre la Faim dont 6 européens ont pris part à l'Assemblée Générale Africaine. Ce compte rendu présente la synthèse des deux jours de travaux et les recommandations formulées. Journée du 14 novembre 2013 Les travaux ont démarré par un mot de bienvenue de Monsieur Symphorien MEDA, le correspondant de la SMF à Ouagadougou. Une minute de silence a été observée en mémoire de tous les disparus des citoyens du monde qui ont soutenu les actions de la SMF après le mot de bienvenue de Monsieur. Ouverture proprement dite de l'AGA a été faite à 8h30 par la Secrétaire Fédérale Mme Claudine TOURNIER au lieu de 9 h comme prévu. Dans son allocution Mme Claudine TOURNIER a félicité les organisateurs Messieurs Symphorien et Bertrand. Elle a remercié tous les participants de leur présence et a présenté à toute l'assemblée les deux délégués élus de l'Afrique de l'Ouest : Messieurs Symphorien MEDA du Burkina Faso et Constant GBEZE du Bénin. Elle a souhaité que les débats soient fructueux pour un nouvel élan de la SMF avant de déclarer ouverte l'Assemblée. Au début des travaux, l'Assemblée a désigné un modérateur au nom de Symphorien MEDA du Burkina Faso (Ouaga) et deux rapporteurs Messieurs Constant GBEZE du Bénin et John AGBELI du Togo (Lomé). Un nouveau point a été inséré à l'agenda : Approbation ou non du compte rendu de l'AGA de 2010 avec un réajustement des horaires retenus. Le compte rendu de l'AGA de 2010 tenue à Bobo Dioulasso, présenté par Danièle CHARIER a été adopté à l'unanimité des participants. Ensuite les communications : Une première communication de Danièle CHARIER sur la mission des délégués élus. Cette communication est axée sur les rôles des élus :
Et les obligations et contraintes. Communication suivie de débats au cours desquels des explications et réponses ont été données à toutes les préoccupations soulevées. Il en ressort que les deux délégués ont le temps de ficeler leur plan d'action et de travailler en synergie dans tout l'espace de l'Afrique de l'Ouest surtout qu'ils élus par l'ensemble des membres de la zone. Les participants ont suggéré une relecture des textes fondamentaux notamment les adhésions et les exclusions. La deuxième communication est portée sur l'historique de la SMF présentée de main de maître par Daniel DURAND, un membre fondateur avec projection d'images de quelques réalisations de la SMF de part le monde. Toute la genèse de la SMF est retracée, les différentes étapes, les facteurs déclencheurs (famines et décès), les démarches adoptées dans la recherche de solution privilégiant une meilleure prise en compte des connaissances et perceptions endogènes dans la conduite des projets. Tous les participants visiblement très satisfaits après appréciation ont posé des questions notamment de clarification auxquelles des réponses ont été apportées. Par rapport à l'accaparement des terres, question relevant de la prérogative des gouvernants de chaque pays, des approches de solution en termes d'expériences de plaidoyer ont été citées. Au cours des réflexions, monsieur François TETE du Togo a partagé une idée de projet avec l'assemblée, projet titré " Un homme, un pain " présenté en trois phases (Opération +1, promotion, action concertée dans les pays membres). Cette idée reste à murir. De même, une idée de rédiger un mémorandum en guise de reconnaissance et en hommage à l'endroit des fondateurs de la SMF a été approuvée mais un comité devra être désigné pour. Après ces communications, les rapports d'activités ont été présentés : CA et BSC. Le rapport du CA est présenté par Danièle CHARIER, Claudine TOURNIER et Edwige GENITEAU en ces trois points :
Il ressort de ce rapport la décision du changement du mode de financement des projets. Ainsi, à partir de 2016, les projets seront financés par crédit. Les motifs de cette décision sont expliqués aux participants (détournement des ONG conventionnées, amenuisement des cotisations etc.). Cependant le système reste à approfondir. Les questions liées au système BSC, le mandat, le mode d'élection et de fonctionnement restent à discuter ainsi que le canevas de présentation des projets. Enfin les rapports d'activité des BSC et correspondants (Bénin, Burkina Faso : Ouaga et Bobo, Togo : Lomé et Sokodè) ont été présentés. Il en ressort beaucoup de situations conflictuelles et il est demandé au CA de creuser davantage le dossier de SOKODE et d'appuyer le BSC Bénin par une correspondance au groupement AGBLEGNON de Lanta. Journée du 15 novembre 2013 Cette journée a débuté par une discussion sur le problème de SOKODE : Il est décidé ce qui suit - Danièle prend contact avec BITOKA pour permettre au délégué du Bénin, mandaté avec le BSC du TOGO-Sud de faire le déplacement sur SOKODE en vue d'en trouver une approche de solution de manière participative avec les groupements de SOKODE. Ensuite les rapports des BSC ont été débattus. Globalement leurs actions sont acceptables, cependant des points restent à préciser :
Les rapports d'activité du CA et des BSC ont été adoptés à l'unanimité. A 9h le rapport financier a été présenté par Daniel DURANT à travers les points ci-après :
Le rapport financier a été adopté sous réserve de vérification des comptes. Ensuite, Danièle CHARIER a présenté les actions en cours par rapport aux affaires de détournement (ADRI et APGA). A l'issue d'un débat, l'assemblée a proposé de laisser la justice suivre son cours tout en priorisant les moyens de recours à l'amiable. Le débat le plus houleux concerne le future mode de financement des projets par microcrédit. A l'issue des débats, les décisions suivantes ont été prises :
En ce qui concerne les moyens à mettre à la disposition des BSC, l'achat des clés USB-internet et d'appareil photos numériques pourra être envisagé. Enfin, les recommandations suivantes ont été faites : A l'endroit du CA
A l'endroit des BSC
A l'endroit des Autorités L'AGA recommande à toute autorité de lutter efficacement contre l'accaparement des terres et pour l'affectation des meilleures terres à la production des cultures vivrières. Fait à Ouaga, le 15 novembre 2013 Annexe 1 : LISTE DES PARTICIPANTS N° NOM ET PRENOMS TITRE PAYS ADRESSE
Annexe2 : MOT D'OUVERTURE DE Claudine TOURNIER, Secrétaire Fédérale Bonjour et bienvenue à tous. Je suis très heureuse d'être parmi vous et d'assister à une Assemblée Générale Africaine (AGA). C'est pour moi une première. Nous félicitons les organisateurs, Symphorien et Bertrand qui ont pu mettre en place ces rencontres décalées d'une journée et vous tous qui avez su sous adapter aux modifications du calendrier. Plusieurs administrateurs n'ont pu se déplacer. Ils s'associent à notre travail. Avant le début de cette réunion, je tiens à saluer, au nom du Conseil d'Administration, le travail que vous, membres des BSC et correspondants, faites sur le terrain. Le Conseil d'Administration est conscient que vous ne ménagez pas votre temps et vos efforts pour soutenir les groupements : rencontres, communications téléphoniques, réunions, aides à finaliser les projets, encouragement à cotiser et à rembourser, etc. . Le travail important que vous faites porte ses fruits. Nous constatons l'amélioration que cela apporte à SMF, notamment dans les relations avec les groupements. Merci à tous. Je vous présente les deux délégués Africains de l'Ouest élus récemment et qui vont rejoindre le Conseil d'Administration ;
Merci à eux pour leur engagement pour SMF. Je salue également l'engagement de Mme NAPO BAGNAN et Monsieur MASSIMAYELE qui s'étaient aussi présentés à cette élection. Ils sont avec nous aujourd'hui pour représenter l'Association locale SMF de SOKODE. Je les remercie. Nous regrettons l'absence d'un représentant du Sénégal qui n'a pu se joindre à nous. Je suis convaincue que les travaux et réflexions effectués pendant ces deux jours seront fructueux et permettront un nouvel élan à SMF Je déclare l'Assemblée Générale de l'Afrique de l'Ouest 2013 ouverte. |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||
Elections des délégués de l'Afrique de l'Ouest Procès- verbal du dépouillement des bulletins de vote Le 21 septembre 2013 de 14h à 15h30, à Quinçay (Vienne, France) à la Maison de la Culture et du Lien Social, il a été procédé au dépouillement des élections de deux Délégués ouest-africains, membres de Solidarité Mondiale contre la Faim au Conseil d'Adminnistration fédéral. Personnes présentes : Claudine Tournier, Secrétaire
Fédérale Dépouillement :
Sont élus délégués Ouest africains : Symphorien Méda et Constant Gbeze |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||