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Pour comparer le règlement voté à Liège et le projet de Bergerac

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De la révision du Règlement du Congrès des Peuples

a) Pour bien comprendre ce qu'est le Congrès des Peuples
b) Révision ou pas ?

A. Qu'est-ce que le Congrès des Peuples ?

Pour bien comprendre en quoi consiste le Congrès des Peuples actuel, il faut se reporter à la session du Congrès des Peuples à Paris en octobre 2003. Au cours de cette session qui suivait de peu le décès de Renée Marchand, la question existentielle du Congrès des Peuples avait été posée. Pendant deux journées complètes, sous la présidence de Marc Garcet, nous avons fait le bilan du mondialisme, et en considérant toute l'histoire et l'existence de ce courant, l'ensemble des participants a voté pour la reprise des activités du Congrès des Peuples. C'était le 26 octobre 2003 à 15 h 10. Il faut bien regarder la question posée qui a permis le redémarrage du Congrès des Peuples : " Sommes-nous d'accord de créer cette assemblée qui s'ajoutera au Congrès des Peuples ? ". Cette " assemblée ", c'était l'ASCOP. C'est donc sur l'ajout de l'assemblée des citoyens du monde (ASCOP) à l'intérieur du Congrès des Peuples que se fonde la nouvelle existence de l'institution, dès lors constituée d'une branche élue (les Délégués) et d'une branche non élue (la société civile mondialiste, ou assemblée des citoyens du monde qui a statut consultatif auprès des élus).

Marc Garcet, promoteur de cette orientation avait précisé ceci - qui est rapporté dans le compte-rendu : "l'assemblée sera le législatif et le Congrès l'exécutif, l'assemblée pouvant recueillir le soutien des associations intéressées ".

Et sous un autre angle de vue : " le Congrès des Peuples, qui est une préfiguration de la future Assemblée constituante mondiale, est un but, le moyen étant l'assemblée ".

C'est la raison pour laquelle le statut de l'ASCOP est interne au Congrès des Peuples et que toute session du Congrès des Peuples entraîne désormais la participation de l'ASCOP. Celle-ci est en effet bien plus qu'une création du Congrès des Peuples : elle en est, en raison du vote du 26 octobre 2003, indissociable de l'institution, condition même de son existence, condition de la validité de toute session.

A posteriori, cette implication de l'ASCOP dans le Congrès des Peuples a trouvé deux soutiens : celui de Heloïsa Primavera, présidente en exercice, lorsqu'elle est venue à Paris an mars 2008, les 27 et 28, réunions avec la participation de cinq autres délégués(*). Heloïsa avait alors expliqué que le Congrès des Peuples avait une vocation inclusive et comportait non seulement les élus mais aussi tous ceux qui voulaient travailler à ses côtés. Le deuxième soutien est apparu au cours d'un débat sur le 60ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, en 2008. Ce débat de deux mois, conduit par Marie-Françoise Lamperti, avait concerné une soixantaine de personnes, et nous avons tiré la conclusion que le Congrès des Peuples correspondait exactement à ce que préconise la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, à savoir qu'il représentait l'émergence d'un " ordre " (article 28) légitimé par des élections (article 21-3) " et fondé sur l'action citoyenne " (alinéa 8 du préambule). A nouveau l'ASCOP y trouve sa place.

(*) : Délégués au Congrès des Peuples présents le 28 mars 2008, 11 h 30 - 12 h 30 : Heloïsa Primavera, Marc Garcet, Roger Winterhalter, Joël Luguern, Peter Davidse, Vincent Peingnez.

B. Révision ou pas ?

La première version du Règlement du Congrès des Peuples est entrée en vigueur au moment où le Congrès des Peuples a lui-même pris son autonomie par rapport au Comité pour le Congrès des Peuples, c'est-à-dire, le 5 juillet 1977, lors de l'ouverture de ce qui était appelé, à l'époque, la " Réunion plénière ", à la Sorbonne, Paris. Ce Règlement a permis au Congrès des Peuples d'exister et de travailler normalement et régulièrement au moins jusqu'à la dixième élection, en 1998.

La " Réunion plénière " de 2003 a apporté de profondes modifications au Congrès des Peuples par :

  • la création de l'Assemblée Consultative auprès du Congrès des Peuples, comme condition même de la revitalisation du Congrès des Peuples
  • la création du Conseil des Sages,
  • la fusion du corps des élus et du corps des suppléants en un seul corps des Délégués élus,
  • la limitation du mandat à 9 ans, avec renouvellement par tiers tous les trois ans,
  • la division de l'électorat en trois tiers, chaque tiers étant appelé à voter tous les 9 ans,

La " Réunion plénière " de 2006 a, de plus, ajouté un nouvel organe dépendant directement du Congrès des Peuples : le Service Juridique, comme fondement de l'émergence d'un droit civil mondial.

En fonction de cette évolution, le Règlement devait être revu.

Sur la base du Règlement de 1977, Jean-Marc Zan a fait un premier travail qui a permis de mettre en évidence les points d'incohérence. Suite à la démission de Jean-Marc, Daniel Durand a proposé la nouvelle version du Règlement, accompagnant sa proposition d'un " tableau des modifications proposées ". Cette nouvelle version a été adoptée en bloc lors de la Session de 2007 à Herstal (Liège).

Depuis ce vote, trois questions ont été posées et quelques aménagements ont été proposés :

  1. le nombre de 45 Délégués élus (article 3.1.)
    Compte-tenu du statut et de la position des anciens élus (de 1969 à 1998), compte-tenu également de la réduction du nombre de nouveaux élus au cas où le nombre de candidats ne serait pas suffisant, le nombre de 45 Délégués élus doit être compris comme un nombre " optimal ".
  2. la participation de l'ASCOP aux sessions
    Celle-ci est la fondement et la justification de l'existence du Congrès des Peuples.
  3. la souveraineté du Congrès des Peuples
    Cette souveraineté est partielle puisque contractuelle, fondée sur la confiance qui lie les électeurs et les élus dans le respect du Règlement.

Les aménagements proposés concernaient la composition de la Commission de Contrôle des Élections, les délais de vote par correspondance ou de rédaction des comptes-rendus. Un aménagement de texte proposé consistait à renvoyer en annexe le détail des organes internes que sont, le Conseil des Sages, l'ASCOP et le Service Juridique.

En conclusion, l'expérience et le développement espéré du Congrès des Peuples (plus forte implication et plus grande compétence des élus ; plus grande représentativité électorale ; plus grande " tribune des peuples et des organisations ") nécessiteront certainement d'adapter les structures aux réalités. Cependant, dans l'état actuel il n'y a pas lieu de penser que le Règlement soit un frein au travail des élus. Il paraît donc sage d'attendre que les troisièmes élections triennales depuis 2003 soient passées avant d'en faire le bilan.

Pièces jointes (voir le document complet au format pdf)

  • Commentaire aux propositions de révision (janvier 2011)
  • correspondances manuscrites de Joël Luguern (décembre 2010)
  • Tableau des modifications (2007)


Après le Congrès du Mouvement des Fédéralistes Mondiaux

Chris : (voir lettre)31/10/2011

Daniel : 1/11/11

L'histoire des Citoyens du Monde, des Fédéralistes Mondiaux et du Congrès des Peuples est intimement mêlée depuis l'origine, et ces liens, maintenus pour quelques uns, ont besoin d'être réaffirmés. Voici quelques uns de ces liens.

Parmi les personnes figurant au Comité de soutien de Garry Davis il y avait notamment l'Abbé Pierre dès le 25 mai 1948. Celui-ci avait participé au congrès de Montreux (Suisse), à la fondation du Mouvement Universel pour une Fédération Mondiale (1947) (à l'époque MUCM) dont il deviendra Président, deux ans plus tard au Congrès de Stockholm (1949).

Guy Héraud, Jerry Bourgeois, Guy Marchand, Edmond Privat, Daniel Schaubacher, Jean-Luc Prével, Jean-Francis Billion, et bien d'autres ... sont autant de personnes dont les noms sont associés tant à la citoyenneté mondiale qu'au fédéralisme mondial.

Le 26 décembre 1950, s'est ouverte à Genève une " Assemblée Constituante Mondiale ". Cette assemblée s'est tenue à l'initiative des Fédéralistes Mondiaux de Suisse et ouverte à la présence de nombreux Citoyens du Monde. Jean Prédine m'a remis à ce sujet le dossier qu'il avait constitué à cette époque.

En 1957, Rodriguès Brent présente pour la première fois le projet de Congrès des Peuples au Registre International des Citoyens du Monde. Dès lors une commission a travaillé sur le sujet. Mais ce sont les Fédéralistes Mondiaux qui ont convoqué à Bruxelles un congrès qui a travaillé sur deux projets : " Action pour une Assemblée Constituante Mondiale " du 30 avril au 2 mai 1963 et " Congrès des Peuples " du 3 au 5 mai 1963. Il résultera de ce congrès de Bruxelles la création du " Comité pour le Congrès des Peuples " et la mission confiée au Registre International des Citoyens du Monde de préparer les listes électorales.

Parmi les signataires de l'Appel des 13 (3 mars 1966), les seuls fédéralistes notoires sont l'Abbé Pierre et Bertrand Russel, mais si l'on regarde la liste des membres du comité français de soutien, on trouve les noms d'une dizaine de fédéralistes mondiaux.

Le 24 octobre 1970, déclaration commune des Citoyens du Monde et des Fédéralistes Mondiaux : http://recim.org/dem/oct70.htm

Élections au Congrès des Peuples Les Fédéralistes Mondiaux ont apporté au Registre des listes d'électeurs pour les élections de 1971 (2ème élection) à 1998 (10ème élection).

Parmi les candidats ou élus, les Délégués issus des Fédéralistes Mondiaux constituent une proportion éloquente auxquels on pourrait ajouter autant de noms d'autres Délégués favorables au fédéralisme : Alfred Rodriguès-Brent, Max Habicht, Keith Suter, John Roberts, Lucile Green, Hanna Newcombe, Philip Isely, Reinhart Ruge, Paul de la Pradelle, Tsuruji Kotani, Josué de Castro, Ross Smyth, Rolf Haegler.

En 1989 (année à vérifier) , l'Assemblée Générale du Registre International des Citoyens du Monde a traité de la collaboration entre le Mouvement Fédéraliste Mondial et le Registre des Citoyens du Monde. Il est résulté des discussions qu'il ne devait pas y avoir de fusion entre les organisations, ni même d'affiliation en raison de la nature opposée des démarches :

  • les Fédéralistes Mondiaux cherchent à utiliser les structures existantes, fondées sur les États, pour les compléter par de nouveaux organes (ex : Cour Pénale Internationale) et par une représentation citoyenne (ex : APNU)
  • les Citoyens du Monde essaient de créer des liens, des réseaux et des structures qui correspondent aux besoins des personnes.

Cependant, il a été décidé d'ouvrir à l'intérieur du Mouvement Fédéraliste Mondial un " Centre d'Enregistrement ". Un contrat a été signé. J'ignore s'il a été mis en application et combien de temps cette application aurait tenu.

Dans la logique ci-dessus, et dès les années 60, le Congrès des Peuples, issu de la convergence entre les Citoyens du Monde, les Fédéralistes Mondiaux, certains mouvements pacifistes, le Service Civil International, les communes mondialisées, etc... est apparu aux Fédéralistes Mondiaux comme un plan B, à savoir que si les organisations onusiennes venaient à disparaître, le Congrès des Peuples serait l'organisation capable de montrer le chemin pour les institutions à venir. Ceci est écrit dans la présentation faite par Alfred Rodriguès Brent.

http://recim.org/kdp/rbrent-fr.htm

En conclusion de la proposition de Chris Hamer, je crois qu'il est utile de poursuivre les relations, de les renforcer, d'établir des liens de représentation, de collaborer à certains projets, bref de travailler davantage sur ce qui nous unit, tout en gardant l'indépendance due à l'histoire et à l'originalité de chacune des structures.

Je propose que le Mouvement des Fédéralistes Mondiaux reprenne la place qui lui revient dans la Commission de Contrôle des Élections au Congrès des Peuples, et qu'il présente régulièrement des candidats aux élections, ainsi que des listes d'électeurs.

Francisco Plancarte

Rob Wheeler 1/11/11

: D'abord merci Chris pour assister à la réunion WFM Conseil et de notre rapport à ce sujet.

Deuxièmement, je vous remercie Daniel pour cette liste intéressante et l'histoire de la relation du Congrès des Peuples et de ses délégués et le WFM. Ceci est très instructive et utile en effet. Je pense qu'il serait bon d'après cette histoire en bonne place sur nos sites Web si elle n'est pas déjà là.

Merci aussi pour votre remarque sur mon intérêt et la participation au mouvement d'occuper et des campagnes d'action d'autres personnes aussi. Alors que mon implication dans de telles choses signifie j'ai moins de temps à consacrer à l'organisation mondiale et les questions de gouvernance, je pense qu'il est important - en particulier parce que je vis aux Etats-Unis où les décisions qui sont prises peuvent avoir un impact très fort sur le reste du monde - soit pour de bonnes ou mauvaises.

Maintenant concernant votre histoire, je tiens à mentionner que Lucy Webster est aussi et depuis longtemps un officier de WFM et très actif dans l'organisation américaine World Federalist. Francisco Plancarte est sur le Conseil international des WFM et préside le Mexique World Federalist effort d'organisation. Et j'ai été membre de l'organisation américaine World Federalist depuis plus de dix ans. J'ai participé à des congrès international de WFM à Londres et à Genève / Montreux, et dans de nombreux congrès nationaux de la fédération mondiale aussi.

Je ne suis qu'un quasi fédéraliste Mais comme je pense que nous serions mieux si nous pouvions l'abandon d'un système de représentation nationale dans n'importe quel système de gouvernance mondiale peut évoluer et émerger. Pourtant, je suis aussi réaliste et comprendre que la Fédération mondiale des pays serait beaucoup mieux que ce que nous avons maintenant. Mais je suis beaucoup plus favorable à l'idée que nous devons développer un système de gouvernance mondiale qui est beaucoup plus participative dans la nature et où les décisions principales sont effectuées par un parlement mondial élu directement / sélectionné.

En tout cas, je suis très heureux de savoir de cette histoire que Daniel a prévu pour nous, et j'ai beaucoup de soutien à la proposition qu'il a faite.

Rolf Haegler 1/11/11

Chers amis mondialistes, En tant que secrétaire de l'association "Fédéralistes mondiaux de Suisse", je suis obligé, par honnêteté, d'apporter quelques précisions à l'exposé historique de M.Daniel Durand concernant l'Assemblée constituante mondiale qui s'est tenue à Genève en 1950-1951. Il écrit: "Cette assemblée s'est tenue à l'initiative des Fédéralistes Mondiaux de Suisse." Il s'agit de s'entendre sur ce que l'on entend par "Fédéralistes Mondiaux de Suisse". On peut comprendre sous ce terme tous les mondialistes suisses ou résidant en Suisse d'une façon générale: Citoyens du monde, membres du WFM, etc. Dans ce cas, on peut admettre qu'ils aient participé à l'Assemblée constituante de 1950 à Genève. Mais à strictement parler, l'association "Fédéralistes mondiaux de Suisse", qui est une organisation membre du Mouvement fédéraliste mondial (World Federalist Movement WFM), a été fondée le 20 février 1960, soit dix ans plus tard. Les Suisses ayant participé aux réunions qui se sont tenues à Genève du 30 décembre 1950 au 5 janvier 1951 (voir note) étaient des citoyens du monde suisses et des membres d'un groupe qui a cessé ses activités au plus tard en 1955, le "Mouvement populaire suisse en faveur d'une Fédération des peuples". Bien que le grand espérantiste et mondialiste suisse Edmond Privat ait joué un certain rôle lors des réunions de Genève en 1950-1951, on ne peut pas dire qu'il s'agissait d'une initiative suisse. L'histoire de ces réunions de Genève est très compliquée. Les principaux acteurs furent Henry Usborne, la Crusade for World Government, l'International Steering Committee du Mouvement fédéraliste mondial et l'Américain Fyke Farmer.

Note: 30-31 décembre 1950: Assemblée constituante des peuples, Genève. 31 décembre 1950-5 janvier 1951: Congrès consultatif, Genève. J.A. Joyce, Was it a Peoples' World Covention? Humanity, new series, vol.II, n°8, avril 1951, pp. 261; J.Popper, "After Geneva", idem, pp. 267. Sur certaines conséquences des rèunions: New Approach for Farmer, The Federalist, octobre 1951, vol.I, n° 5, p. 5 L'Abbé Pierre a présidé le comité exécutif du Mouvement Universel pour une Confédération mondiale (l'actuel Mouvement fédéraliste mondial / World Federalist Movement, WFM), non le Mouvement en tant que tel. Les présidents étaient Jean Larmeroux (1947-1948) et Lord j.Boyd-Orr (1948-1951). En tant que président du comité exécutif, l'Abbé Pierre était beaucoup plus directement impliqué.


Stocks alimentaires mondiaux

Dans les années 70 était apparue l'idée de créer des stocks alimentaires mondiaux destinés à pallier aux famines et à réguler le cours des matières premières. La Commission Faim et Développement des Citoyens du Monde, animée par Bernard Muet, avait travaillé sur ce sujet essayant de voir quelle action citoyenne pouvait être relayée et approuvée par le Congrès des Peuples dans ce sens - voir la déclaration mondiale n° 6.

http://www.recim.org/kdp/dm06-fr.htm

Cette réflexion a participé aux 4ème objectif de Solidarité Mondiale contre la Faim

http://www.recim.org/ascop/smf-fr.htm que le Congrès des Peuples a officiellement approuvé en septembre 1982 lors de la session tenue à Brighton.

Au moment où la population mondiale va franchir le cap des 7 milliards d'habitants, tandis que le nombre de personnes souffrant de la faim ne cesse d'augmenter - essentiellement pour des raisons politiques - le sujet reste d'une actualité brûlante.

C'est certainement ce qui a motivé les créateurs d'une nouvelle organisation dont le siège est à Bruxelles, qui nous confie ci-dessous sa ligne stratégique vers une autorité mondiale en matière alimentaire.

Muriel Saragoussi, 28/10/11

Il me semble plus important d´avoir transparence et gouvernance autour des stock existants, pressionan les gouvernements à avoir des stocks d´urgence a niveau local ou regional, et de sortir les stocks actuels de la main du secteur privé que de créer des stocks mondiaux.

Je vous suggére de visiter le site de la campagne Cultivons (GROW - Cresca) d´Oxfam et de lire les documents de la société civile presentés à la 37 eme confèrence do Conseil de Sécurité Alimentaire de la FAO.

le site de Oxfam pour la campagne est:
English: http://www.oxfam.org/en/grow
Español: http://www.oxfam.org/es/crece/dashboard
Français: http://www.oxfam.org/fr/cultivons/dashboard


Vers un document concernant le Congrès des Peuples

proposition faite le 15 octobre 2014 (pdf)

Daniel, 22 janvier 2011

Depuis la session de Liège, on voit surgir des interrogations sérieuses concernant le Congrès des Peuples et l'ASCOP : Le débat avait battu son plein notamment lors de la préparation de la session de Brasilia avec des interventions très intéressantes de Rob, Heloïsa et de quelques autres.

Tout cela me conduit à trouver nécessaire la rédaction d'un document de référence pour lequel je souhaite une contribution aussi large que possible, prenant en compte l’expérience des anciens, l’enrichissement des connaissances et des analyses en droit international et en droit mondial.

Le premier jet de cet ouvrage collectif pourrait viser à un document didactique, d’utilisation pratique, sous la forme de questions et réponses. La publication serait faite en enrichissement et en corrections continus sur Internet.

A titre indicatif, le contenu pourrait traiter le sujets suivants :

  • du droit international au droit mondial
  • de la légitimité des institutions citoyennes
    • Quelle est la légitimité du Congrès des Peuples ?
    • Y a-t-il un texte qui comporterait la reconnaissance internationale du Congrès des Peuples ?
  • le projet initial du Congrès des Peuples
  • le développement du Congrès des Peuples de 1969 à 1998
  • les nouveaux enjeux
  • le développement actuel depuis 2003.
  • les collaborations avec les organisations mondialistes


Rob Wheeler, 13/01/2011

Je comprends vos croyances et vos sentiments à propos de ce. J'ai vu l'antagonisme et d'animosité développer entre les deux d'entre vous au cours des dernières années.

Je suis également conscient qu'elle peut être très gras ou franchise en affirmant ses sentiments et ses opinions de temps à autre, ce qui peut conduire à des ressentiments, etc Cependant, je crois qu'elle est impliquée dans la Congrès des Peuples pour les mêmes raisons et les mêmes intentions que nous partageons tous, et nous venons de devons essayer de notre mieux pour s'entendre - tout en faisons de notre mieux pour travailler dans de tels problèmes et défis.

En ce qui concerne vos commentaires en ce qui concerne Joel, Tahar et les autres, je ne peux pas vraiment commenter ce que je n'étais pas là pour voir moi-même ce eu lieu, mais je vous remercie de partager vos pensées et les sentiments. Je ne sais par des années de l'organisation de travail, cependant, que ces défis et différents points de vue presque toujours se produisent ou viennent en faire ce genre de travail.

S'il vous plaît, si vous pensez que votre travail et les cotisations sont plus valables et en ligne avec votre but et les intentions à travers ASCOP,puis mettre la plupart de vos efforts là-bas. Cependant, je espérons que vous suivrez les progrès de la Congrès des Peuples; partager vos réflexions et d'entrée de temps à autre, et revoir votre position sur comment vous voulez participer à mesure que nous avançons. Peut-être nous serons en mesure de regagner votre confiance et de conviction dans la viabilité et la solvabilité des peuples Congrès dans le temps. En effet, je souhaite que nous puissions continuer à construire un fort et de travail favorable relation et la collaboration entre l'ASCOP et Congrès des Peuples. J'ai espéré que vous et Daniel, avec d'autres, peut et sera également merci de nous aider à cet égard. Alors, j'espère que vous garderez C'est dans cet esprit.

En outre, vous êtes (comme vous le savez) élu membre du Comité exécutif ainsi que les Congrès. Je vais continuer à vous envoyer des messages sur le Comité exécutif (à moins que vous me demandez ne pas), et j'espère que vous vous joindrez à nous dans notre réunions et des appels téléphoniques, etc

Enfin, en ce qui concerne la question de la décision décisions et le Congrès des Peuples, je pense que c'est une question qui doit sans doute beaucoup plus discussion. Je partage avec vous l'idée et de conviction que tout le monde qui est intéressé et engagé à décision globale processus devrait être en mesure d'avoir un rôle à part entière, la voix, et de voter de telle processus. La question devient alors comment cela peut meilleure façon de procéder avec des centaines de millions de personnes qui peuvent être intéressés par de tels procédés.

Je pense effectivement que la nouvelle proposition et organisation de l'effort pour créer un style ParMun mondiale Parlement (tel que proposé initialement par Francisco Plancarte) pourrait fournir l'un des meilleurs les possibilités et les modèles pour l'élaboration d'un bien modèle plus participatif de la démocratie mondiale, une dans laquelle tout un chacun qui veut peut devenir un délégué tout simplement en vous inscrivant et en maintenant suffisamment de partisans.

Cependant le cas du Congrès des Peuples est, je crois, un peu différent et plus compliqué. Le Congrès des Peuples a été effectivement créé en Afin de modéliser comment un Parlement mondial légitime pourrait fonctionner sur la base des élections où citoyens du monde enregistrés pouvaient voter pour leur représentants. Dans un tel modèle, il est donc s'attend à ce que les délégués élus de travail sont réunis pour élaborer avec et vote sur le meilleur solutions pour des problèmes mondiaux importants.

Il me semble à l'encontre du but et intentions du Congrès des Peuples, si nous étions maintenant à-dire que tout le monde peut voter dans les peuples Congrès, qu'ils soient élus ou non. Pourtant, je peux voir la valeur et l'avantage de y compris ceux qui sont citoyens du monde intéressés par le Congrès des Peuples dans son les procédés et travaux, et peut-être même sous une forme de voter de temps à autre. Ce que je crois que c'est une grande partie de la raison pour laquelle ASCOP a été créé ou formés - afin d'encourager ces participation, et il fait partie de la raison pour laquelle il est très important.

Pourtant ce ne sont que mes propres opinions personnelles sur la question, et, comme je l'ai dit, nous devrions probablement continuer à discuter de ces choses et tenter de trouver une solution que tout le monde se sent bien environ et peut accepter - si possible. En tout état de cas, je vous remercie encore de votre note.


ASCOP Change of Name, by René Wadlow 23/01/11

 

texte original

Traduction automatique par Bing-beta translator

The change of name of ASCOP to Assembly of World Citizens offers an opportunity to analyse what is being done and what need to be improved in our world citizen political efforts. This is a personal reflection based on my experience and what I see as priorities;

The main priority is to inform the UN Secretariat and the representatives of national governments of world citizen positions on the following

  • a) human rights issues;
  • b) conflict resolution issues;
  • c) socio-economic issues which have a world dimension such as our recent appeal on higher food prices and the need for a world food policy.

These appeals to the United Nations and to national governments are currently well carried out by the Office to the United Nations, Geneva of the Association of World Citizens (AWC) and its Press Officer in Paris. This activity is in keeping with the AWC consultative status with the UN. The quality of the replies we receive from the UN and from national governments indicate that the appeals are taken seriously and in some cases lead to positive action.

The second priority is contacts with international non-governmental organizations also in consultative status with the United Nations. Although there are now over 2000 NGOs in consultative status with the UN, I think that there are 100 to 150 international organizations that are known to governments and with whom it is important to inform about world citizen positions, such organizations as Amnesty International, the World Council of Churches, Human Rights Watch, the Society for International Development. Contact with these organizations is carried out by personal meetings of AWC representatives in Geneva and New York and by email contact, in part through the AWC secretariat in Taiwan which has a large number of active volunteers who can send emails. Additional funds would be useful to pay for postage since many statements are sent by email but also by regular post to UN Missions in New York, Geneva, UNESCO and national capitals.

Areas where improvements need to be made:

It would be important to have better contacts with the press at the national level. Some press releases and articles are sent to national newspapers and have been published or put on the internet. However such work with the press as well as work with internet sites could be a full time job.

It would be important to keep contact with NGOs which work at the national or local level. ASCOP has such members as villages communautaires planetaires de Mont Sagess in the Congo Brazzaville. AWC does not have the secretariat to be in contact. It is important to have two-way contact, both to inform them of our positions but also to be open to their problems and suggestions.

It would be important to have publications on paper since everyone does not yet live on internet. Usually I use my articles with the letterhead of the AWC Office to the UN in Geneva to give to government representatives. However, the articles say nothing directly about the organization nor about the wider world citizen movement. Such a lack of publications is a real weakness. To give a most recent example: I have played an active role in the UN Commission on Human Rights (now the Human Rights Council) on the conflicts in the Sudan, both the North-South and the Darfur conflicts. My statements have usually been critical of the government but I have always stressed that we would be ready to help in any way possible.

Thus the Government of Sudan asked the AWC to organize a team to observe the recent referendum in south Sudan. I am not in a physical condition to spend a night in a different village every night for a week so a team of younger people was put together from Geneva. They have just returned safely. They were often interviewed by the press and by the national television, but they had no brochure to give to the press. They had to improvise saying they were for peace and human rights, but it was nothing very specific.

Thus I see four related needs. How best to undertake these tasks I am not sure:

  1. Money
  2. Outreach to national and local NGOs
  3. Outreach to national press and media
  4. Publications

With best wishes, Rene Wadlow

Le changement de nom de ASCOP à l'Assemblée des citoyens du monde offre la possibilité d'analyser ce qui est fait et ce qui doit être amélioré dans nos efforts politiques de citoyens du monde. Il s'agit d'une réflexion personnelle basée sur mon expérience et ce que je vois comme prioritaire ;

La principale priorité est d'informer le Secrétariat de l'ONU et les représentants des gouvernements nationaux de postes de citoyen du monde sur les points suivants

  • a) questions les droits de l'homme ;
  • b) questions de résolution de conflit ;
  • c) socio-économique des questions qui ont une dimension mondiale tels que notre appel récente sur la hausse des prix alimentaires et de la nécessité d'une politique d'alimentaire du monde.

Ces appels à l'Organisation des Nations Unies et aux gouvernements nationaux sont actuellement bien menées par le Bureau de l'Organisation des Nations Unies, Genève, de l'Association des citoyens World (AWC) et son attaché de presse à Paris. Cette activité s'inscrit dans le cadre du statut consultatif d'AWC auprès de l'ONU. La qualité des réponses que nous recevons des Nations Unies et des gouvernements nationaux indique que les appels sont prises au sérieux et dans certains cas ont des suites positives

La deuxième priorité ce sont les contacts avec des organisations non gouvernementales internationales qui ont aussi un statut consultatif auprès des Nations Unies. Bien qu'il y ait maintenant plus de 2 000 ONG du statut consultatif auprès de l'ONU, je pense qu'il y a de 100 à 150 organisations internationales qui sont connues par les gouvernements et avec lesquels il est important de communiquer sur les postes de citoyen mondial, des organisations comme Amnesty International, le Conseil œcuménique des églises, Human Rights Watch, la société pour le développement International. Le contact avec ces organismes est effectué par des rencontres personnelles de représentants de l'AWC à Genève et New York et par des contacts par messagerie, en partie par le Secrétariat de l'AWC à Taïwan, qui a un grand nombre de bénévoles actifs qui peuvent envoyer des courriels. Des fonds supplémentaires seraient utiles pour payer les affranchissements, puisque de nombreuses déclarations sont envoyées par courrier électronique, mais également par courrier ordinaire à des Missions de l'ONU à New York, Genève, l'UNESCO et capitales nationales.

Domaines où des améliorations doivent être apportées :

Il serait important d'avoir de meilleurs contacts avec la presse au niveau national. Certains communiqués de presse et les articles sont envoyés à des journaux nationaux et ont été publiés ou mis sur internet. Mais travailler ainsi avec la presse ainsi qu'avec les sites internet représente un emploi à temps plein.

Il serait important de garder le contact avec les ONG qui travaillent au niveau national ou local. ASCOP a ces membres comme villages communautaires planetaires de Mont Sagess dans le Congo Brazzaville. AWC n'a pas de Secrétariat disponible pour ce travail. Il est important d'avoir des contacts bilatéraux, tant pour les informer de nos positions mais aussi d'être ouverts à leurs problèmes et leurs suggestions.

Il serait important d'avoir des publications sur papier, puisque tout le monde ne vit pas encore sur internet. Habituellement j'utilise mes articles avec l'en-tête du Bureau de l'AWC aux Nations Unies à Genève pour donner aux représentants du gouvernement. Toutefois, les articles ne disent rien directement sur l'organisation ni sur l'ensemble du mouvement citoyen. Cette absence de publications est une réelle faiblesse. Pour donner un exemple plus récent : J'ai joué un rôle actif dans la Commission des Nations Unies sur les droits de l'homme (maintenant le Conseil des droits de l'homme) sur les conflits au Soudan, les conflits Nord-Sud et au Darfour. Mes déclarations ont généralement été critiques du gouvernement, mais j'ai toujours souligné que nous serions prêts à aider de quelque façon possible.

Ainsi, le gouvernement du Soudan a demandé à AWC d'organiser une équipe chargée d'observer le référendum récent au Sud-Soudan. Je ne suis pas dans une condition physique à passer une nuit dans un village différent chaque soir pendant une semaine, aussi une équipe de jeunes a été mises sur pied depuis Genève. Ils ont rentrés en toute sécurité. Ils ont été interrogés souvent par la presse et la télévision nationale, mais ils n'avaient aucune brochure à donner à la presse. Ils deaient improviser disant qu'ils étaient pour la paix et des droits de l'homme, mais rien de très précis.

Je ne vois donc que quatrebesoins qui sont liées. Je ne sais pas quelle est la meilleure façon d'effectuer ces tâches je ne sais pas :

  • Argent
  • Sensibilisation des ONG nationales et locales
  • Sensibilisation nationale de la presse et médias
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22/01/11 Tahar Houhou
Au delà du changement du nom , y aura-t-il un changement de rôle; L'ascop sous son nouveau nom sera t-elle toujours une assemblé consultative si ce n'est plus le cas, ça suppose un changement des statuts qui ne peuvent se faire qu'en assemblée générale, il me semble. je rejoins la remarque de Muriel sur l'usage de la particule "de" au lieu de la particule "des" . L'autre question que je soumets l'assistance des délégués, le congres des peuples a t'il son mot à dire sur le changement de statuts de l'ascop.

Beyond the name change, will there be a change of role; ASCOP under its new name will she ever assembled an advisory if not more so, it implies a change of statutes not can be done by general meeting, I think. I agree with Muriel's remark on the use of the particle "de" instead of the particle "of". The other question I submit the support of delegates, the Congress of Peoples' you it's say in the change of status of ASCO

23/01/11 Abdelli Amokrane
Merci Tahar pour ces remarques très importantes pour notre organisation, moi j appelle une autre fois a favoriser l'approche communication entre nous délégués elus et citoyens du monde .on ne peut pas avancer sans cette approche.. Je propose et cela suite aux differents problemes lie a la rencontre de Zagora de penser a la creation maintenant d'un fonds pour notre organisation pour que l'annee 2011 soit l'année des actions de terrains, aider les sections citoyens du monde ,penser a un partenariat strategique entre notre organisation et d'autres organisations internationales. Installer un comité de suivi des questions liées à la citoyenneté mondiale (Comite questions urgentes des citoyens du monde) il sera charge de suivre et de donner des recommandations sur les crises et les conflits (comme la crise en tunisie, algerie,...)

23/01/11 Liliane Metz-Krencker
Attention Messieurs preparez vos fusils......je pose la question suivante : Que se passerait il si des responsables du CP en réunion a Strasbourg s'etaient permis alors que c'est leur droit, de changer le nom de certains de nos organismes sans consulter personne ????? Si encore cela pouvait changer quelque chose

Je ne vois meme pas les raisons et les buts de cette maneuvre absolument illegale

J'ose esperer que notre president Rob a été prevenu et qu'il a recu sa version du compte rendu de cette réunion secrète de Mulhouse. Je vous prie de bien vouloir prendre en consideration les interventions de nos delegues qui ne comprennent pas ce qui se passe. Toutes ces interventions sont fondées et j'aimerais que le petit groupe de separatistes que vous êtes reconsidere sa facon d'agir qui n'a rien de democratique et de mondialiste

24/01/11 Daniel Durand

l'Assemblée Consultative (ASCOP) fait partie intégrante du Congrès des Peuples. C'est pourquoi il y a cet article 10. http://www.recim.org/kdp/regl-fr.htm#10

Parenthèse : Suite à la session de Brasilia, il a été décidé d'ouvrir un compte bancaire au nom de l'ASCOP. Pour cela, il a fallu créer une association selon la loi française "ASCOP - Citoyens du Monde". C'est cette association là (enracinement français de l'ASCOP) qui a raccourci son nom, "Assemblée des Citoyens du Monde". fin de la parenthèse.

L'ASCOP continue à exister selon l'article 10 du Règlement du Congrès des Peuples. Elle comprend 91 organisations (81 organisations de 23 pays et 10 organisations transnationales) et des personnes à titre individuel.

Concernant l'association française "ASCOP-Citoyens du Monde" dont le siège à Binges, voici les raisons de ce changement de nom

  • C' est un "raz-le-bol" exprimé par plusieurs participants concernant l'attitude de Joël Luguern et de quelques autres qui l'ont suivi à vouloir séparer, lors des sessions, l'ASCOP (branche non élue) du Congrès des Peuples (branche élue), donc à refuser la participation de l'ASCOP aux débats du Congrès des Peuples, et même à hurler lorsque l'un des représentants d'une des organisations de l'ASCOP a osé lever la main pour demander la parole.
  • Depuis l'origine, toutes les réunions du Congrès des Peuples se sont déroulées avec la participation de non-élus. La Session du Congrès des Peuples de Paris en octobre 2003 en a fait le constat, sous la présidence de Marc Garcet, et c'est Marc Garcet lui-même qui a suggéré de structurer cette présence jusqu'alors informelle, faisant de cette Assemblée de la société civile mondialiste (ASCOP) l'outil indispensable de la relance du Congrès des Peuples (qui était en sommeil depuis 1998). Voir le débat et le vote relatés
    http://www.recim.org/kdp/2003-fr.htm#5
    C'est pourquoi cette "Assemblée Consultative" est indissociable du Congrès des Peuples, et toute réunion du Congrès des Peuples concerne également l'Assemblée. Les dissociations faites à Liège en 2007 et à Zagora en 2010 sont illégales.
  • Autre raison de ce "raz-le-bol", c'est que des organisations membres de l'ASCOP avaient interpellé le Congrès des Peuples relativement à plusieurs (six) problèmes mondiaux , et que la session de Zagora n'a même pas émis une seule réponse, motion ou déclaration à l'égard de ces personnes en attente, et parfois en détresse.
  • Le Congrès des Peuples a préféré se recroqueviller sur son fonctionnement, créant des commissions internes et cherchant pour elles des volontaires - fort peu nombreux, et parfois "désignés" - alors que de nombreux volontaires potentiels étaient à la porte de la salle de la réunion, prêts à participer. Le Congrès des Peuples n'appartient pas au Congrès des Peuples, mais il est l'émanation des électeurs (http://www.recim.org/kdp/arkel-fr.htm) et les affaires du monde ne sont-elles pas les affaires de tout le monde ?
  • Le but poursuivi est de créer en France et chez quelques partenaires hors de France un mouvement dynamique qui ne traîne pas avec lui le nom d'un outil qui a été méprisé à Liège et à Zagora ..
  • le nom choisi "Assemblée des Citoyens du Monde" fait directement référence à "people's congress" (assemblée des personnes) traduit pour la commodité mais par erreur par "Congrès des Peuples". [Le Congrès réuni à Bruxelles du 3 au 5 mai 1963 avait lieu en anglais avec traduction en français. Le but initial du Congrès des "Peuples" était d'opposer à l'Assemblée Générale des Nations-Unies, une Assemblée des êtres humains, et de faire valoir les intérêts de l'humanité face aux intérêts des Etats.] Le nom choisi à Mulhouse lors de la réunion du 15 janvier sonne donc comme un rappel des fondamentaux du mondialisme.
  • Pour cette Assemblée Générale extraordinaire de l'association française ASCOP-Citoyens du Monde, toutes les personnes vivant en France et à jour de leurs cotisations ont été régulièrement invitées par courrier en date du 16 novembre 2010. 13 personnes (qui étaient présentes à Zagora), ont participé. Cette Assemblée générale était donc parfaitement légale..

(Les autres organisations ou personnes continuent à faire partie de l'ASCOP telle que prévue par le Règlement du Congrès des Peuples).

Je termine donc ici mes réponses. Je constate que c'est de l'ignorance de l'histoire du Congrès des Peuples que sont résultés quelques problèmes sérieux mais temporaires. Afin que cette situation ne se reproduise pas, il est important que le Congrès des Peuples dans son ensemble (élus et assemblée consultative) participent à la rédaction d'un document objectif qui exprime clairement, de manière succincte et didactique ce qu'est le Congrès des Peuples.

13/01 : Roger

Mon cher Rob,

J'ai lu avec beaucoup d'attention ton message et ton souhait de repartir sur de nouvelles bases.

Bien que ne voulant pas me laisser entraîner dans des polémiques inutiles, je t'adresse ci-après quelques remarques :

- la soi-disante erreur de Liliane est significative, tout simplement de ses limites et de son état d'esprit. Pour moi, je continue à penser et à dire que cette personne est à la fois limitée dans sa réflexion et sa compétence et... très très négative de par son désir de paraître;

- son comportement, l'attitude obsessionnelle de Joël au niveau des règlements, l'allégeance de Tahar, la passivité de certains autres, ont fait qu'à Zagora, le Congrès des Peuples s'est totalement disqualifié;

- Heureusement, il y avait la présence, la volonté de FAIRE ENSEMBLE,des Mouvements Citoyens et de l'ASCOP en particulier;

Voilà les raisons pour lesquelles, je vais à l'avenir m'investir au niveau de la citoyenneté de base (c'est-à-dire l'ASCOP) et m'abstenir de toute participation au Congrès des Peuples dont l'attitude est effectivement celle que nous critiquons au niveau des institutions.

Certes, je reste élu au Congrès, mais ne compte pas sur moi pour participer à des Commissions où (tel que l'a annoncé Tahar) les citoyens pourront donner leur avis, en laissant le soin aux élu-e-s de décider.

Cette démarche est totalement antinomique avec mes convictions autogestionnaires.

Je suis et je reste un militant qui lutte pour que l'Homme de la rue prenne ses responsabilités, devienne acteur de sa vie et non un sous-produit d'un "cénacle de notables" au Congrès des Peuples.

Roger Winterhalter

 

Questions

1.

Français - English - Esperanto

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L'objectif que je propose est de réaliser à propos du Congrès des Peuples un document comparable à celui produit par le Comité de Mondialisation du Lot il y a 60 ans et que l'on retrouve page http://www.recim.org/cdm/kial-fr.htm

A. question ; B. explications ; C. synthèse militante

Il convient de débattre de chacune des questions, de corriger l'argumentaire, de l'enrichir par des références à l'expérience.

L'archivage des réponses se trouvera http://groups.google.com/group/kdp-cdp/topics

La synthèse sera faite en http://www.recim.org/stud/cdp-fr.htm#texte

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Légitimité du Congrès des Peuples

 

A. Quelle est la légitimité du Congrès des Peuples ? Y a-t-il un texte qui comporterait la reconnaissance internationale du Congrès des Peuples ?

B. L'existence du Congrès des Peuples est entièrement justifiée par la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. Approuvée le 10 décembre 1948 par 48 États sur les 58 qui composaient l'ONU à cette époque, cette déclaration est devenue un texte complémentaire de la Charte des Nations Unies en son article 1er alinéa 3 " réaliser la coopération internationale (...) en encourageant le respect des Droits de l'homme (...) ". Dès lors tout nouvel État membre des Nations Unies signe non seulement la Charte des Nations Unies, mais approuve également la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. Cette dernière est donc, de fait, approuvée par la quasi-totalité des États membres (182 sur 192).

Relativement à cette Déclaration Universelle, le Congrès des Peuples est une réponse exacte au Préambule alinéa 8, et aux articles 21-3 et 28 que l'on peut résumer ainsi : l'application universelle et effective des droits est confiée aux individus dans le cadre d'un organe fondé sur la démocratie.

C. (à rédiger)

 Références : Charte le l'ONU, article 1er : http://www.un.org/fr/documents/charter/chap1.shtml

DUDH : http://www.un.org/fr/documents/udhr/

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English

 The objective I propose is to make about the Peoples Congress a document comparable to that produced by the Committee on Mundialization of the Lot 60 years ago and found page http://www.recim.org/cdm/kial-an.htm

A. question B. explanations, C. synthesis activist

It should discuss each question, correct the pitch, to enrich it with references to the experience.

The filing of the answers will be found http://groups.google.com/group/kdp-cdp/topics

The summary will be made http://www.recim.org/stud/cdp-fr.htm#text

========== =

Legitimacy of Peoples Congress

 A. What is the legitimacy of the Congress of Peoples? Is there a text that would include international recognition of the Peoples Congress?

B. The existence of the Peoples Congress is fully justified by the Universal Declaration of Human Rights. Approved December 10, 1948 by 48 states over the 58 that made up the UN at that time, this statement has become an additional text of the UN Charter in Article 1 paragraph 3 "to achieve international co-operation in (...) encouraging respect for human rights (...) ". Therefore any new Member State of the United Nations not only sign the UN Charter, but also endorses the Universal Declaration of Human Rights. The latter is, in fact, approved by almost all Member States (182 of 192).

Connection with this Universal Declaration, the Congress of Peoples is an exact answer to paragraph 8 Preamble and Articles 21-3 and 28 that can be summarized thus: the universal and effective application of rights is entrusted to individuals under an organ founded on democracy.

C. (write)

References : UN charter : http://www.un.org/en/documents/charter/chapter1.shtml

Universal Declaration of Human Rights : http://www.un.org/en/documents/udhr/

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Esperanto

La celo, kiun mi proponas, estas produkti pri Kongreso de la Popoloj dokumenton similan al tiu verkita de la Komitato de Tutmondiĝo de Lot antaŭ 60 jaroj, kiu troveblas en paĝo http://www.recim.org/cdm/kial.htm

A. demando ; B. klarigo ; C. sintezo

Oni debatu pri ĉiu demando, korektu la argumenton kaj pliriĉigu ĝin per referencoj al la sperto.

La arkivejo de la respondoj troviĝos http://groups.google.com/group/kdp-cdp/topics

La sintezo estos farita en http://www.recim.org/stud/cdp-fr.htm#texte

========= =

Praveco de Kongreso de la Popoloj

A. Kiu estas la legitimeco de la Kongreso de la Popoloj ? Ĉu ekzistas teksto, kiu entenas la internacian rekonon de Kongreso de la Popoloj ?

B. La ekzisto de Kongreso de la Popoloj estas plene pravigita de la Universala Deklaracio de Homaj Rajtoj. Aprobita la 10an de decembro 1948 de 48 ŝtatoj el la 58, kiuj tiam konsistigis U.N. tiu deklaracio fariĝis aldonan tekston de la ĉarto de U.N. en ties 1a artikolo 3a alineo " realigi la internacian kunlaboradon (...) stimulante la respekton de la homaj rajtoj (...) ". De tiam ĉiu nova aliĝinta ŝtato de U.N. ne nur subskribas la U.N. ĉarton, sed ankaŭ aprobas la Universalan Deklaracion de Homaj Rajtoj. Tiu lasta estas do fakte aprobita de kvazaŭ ĉiuj membraj ŝtatoj (182 el 192).

Koncerne tiun Universalan Deklaracion Kongreso de la Popoloj estas prava respondo al la 8a alineo de la enkonduko kaj al la artikoloj 21-3 kaj 28, kiujn oni povas jene resumi : la universala kaj efektiva aplikado de la rajtoj estas konfidita al la individuoj enkadre de organo fondita sur demokratio.

C. (verkota)

Referencoj :

Ĉarto de UN (1a artikolo) : http://reocities.com/Athens/olympus/7964/unchart1.html

Universala Deklaracio de Homaj Rajtoj : http://www.recim.org/dem/udhr.htm


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