|
||||||||
|
||||||||
Laissons le peuple décider - Un parlement mondial maintenant ! Si vous pensez que notre système politique actuel est inadapté pour faire face aux défis mondiaux croissants, vous nêtes pas seul ! Rejoignez notre semaine daction du 20 au 30 Octobre pour appeler à la création dun Parlement mondial qui permettra à tous les citoyens dêtre réellement représentés. Alors que les crises mondiales augmentent, des personnes du monde entier, de milieux et cultures différentes, expriment leur mécontentement face aux formes actuelles de représentation politique qui les laissent sans voix pour la prise de décisions mondiales. Nous avons beaucoup, beaucoup de problèmes globaux. De la destruction des écosystèmes indispensables à la vie, à léchec de la protection des droits humains, le désarmement nucléaire inachevé, le manque de régulation des marchés mondiaux et des systèmes financiers, surmonter les inégalités socio-économiques. Ces questions et bien dautres encore sont des problèmes mondiaux qui demandent des solutions. Mais qui est responsable pour la gestion de ces problèmes dun point de vue réellement mondial ? Afin de construire des solutions mondiales nous avons besoin dun organisme politique capable de faciliter le débat démocratique et la prise de décisions mondiales. Aujourdhui les citoyens du monde on peu dinfluence sur les décisions prises par des institutions internationales telles que lONU, le FMI, lOMC, la Banque Mondiale, le G20 ou le G8. Les gouvernements représentés au sein de ces organismes organismes souvent créés par des groupes auto-sélectionnés se rencontrent et décident de notre futur tout en étant souvent fortement influencés par les lobbyistes de firmes multinationales. La première préoccupation de ces gouvernements est de défendre ce quils considèrent comme relevant de leur intérêt national et non pour le bien commun de lhumanité et de lenvironnement. Qui devrait sexprimer au nom de la population mondiale ? La population devrait décider pour elle-même ! Dans un système démocratique, les citoyens élisent déjà leurs représentants à plusieurs niveaux. Il y a les conseils municipaux, des parlements de province ou de régions, et les parlements nationaux. En Europe, il existe même un parlement continental. Et pourtant en ce qui concerne les questions mondiales qui affectent chacun et tout le monde sur la planète, il nexiste pas de parlement mondial. Un parlement mondial serait un instrument pour trouver et mettre en place des solutions démocratiques, responsables et dans le meilleur intérêt de lhumanité. Cela reflèterait la diversité sociale, politique, religieuse, ethnique et culturelle des citoyens du monde, au delà des frontières nationales. Nous, les participants à cette semaine daction, sommes daccord sur lidée fondamentale que les citoyens de la planète devraient voter pour des représentants mondiaux. Il existe beaucoup davis différents sur lorganisation de ce parlement. Certains dentre nous pensent quil devrait être enrichi par des moyens permettant la participation électronique et directe des citoyens. Toutefois, nous restons unis dans la diversité et unis dans notre appel. Laisser la population décider. Nous avons besoin dune démocratie sans frontières. Nous devons construire une démocratie mondiale. Nous avons besoin dun parlement mondial ! Nous appelons les individus, les organisations, les groupes et mouvements de partout à sorganiser et à nous rejoindre pour la Semaine Mondiale dAction pour un Parlement Mondial, qui aura lieu du 20 au 30 Octobre. Venez et défendez la démocratie mondiale ! |
||||||||
Pour la démocratisation des Nations unies Si la démocratie ne garantit pas toujours un bon gouvernement, labsence de démocratie est toujours un signe de mauvais gouvernement Vendredi 28 octobre 2016, La présente note a été réalisée dans le cadre de la 4° Semaine mondiale daction pour un Parlement mondial, sur la base de louvrage du fédéraliste canadien Dieter Heinrich, Un projet et une proposition pour la démocratisation des Nations unies [1]. Ce texte, réédité depuis avec une préface de Andreas Bummel, coordinateur de la Campagne pour une Assemblée parlementaire des Nations unies, par le KDUN (Comité pour des Nations unies démocratiques) de Francfort a été le premier texte de la campagne mondiale pour lAPNU soutenue en particulier par le World Federalist Movement, lUEF Europe et lUEF France. Le problème Tandis que les États font de plus gros efforts de coopération internationale que par le passé et font de plus en plus appel à lONU pour ce faire, ils semblent aussi indifférents quauparavant au besoin de réels changement du système en faveur de laccroissement de sa souveraineté et de son autorité. Le problème crucial de la construction dun ordre international plus efficace est la redistribution de la souveraineté, par la limitation de celle des États nationaux et laccroissement de celle dinstitutions mondiales démocratiques. La capacité des responsables nationaux à être également des décideurs au plan mondial est sérieusement compromise par lexercice concomitant de leurs responsabilités au plan intérieur. Les responsables politiques nationaux, même les plus consciencieux, agissent dans un cadre de pensée limité : en vertu de leur fonction, ils sont poussés à promouvoir et à défendre les intérêts nationaux avant les intérêts mondiaux. Lexemple de la Communauté européenne : La Communauté européenne est lexemple le plus instructif, dans les temps récents, dune évolution progressive dans un sens supranational dune organisation qui, à lorigine, unissait des gouvernements nationaux. Au début des années 80 la Communauté européenne était en pleine crise. Ses institutions obsolètes et, principalement, son mécanisme décisionnel avaient fini par entraîner un état de paralysie totale dénommé « euro-sclérose ». Douze gouvernements souverains, chacun avec son droit de veto, se montraient incapables de prendre des décisions et lévolution même de la Communauté était bloquée. Linertie des gouvernements ne fut finalement dépassée que grâce à la pression exercée de lextérieur par les citoyens. Les organisations de citoyens de toute nature, y compris les milieux économiques qui faisaient campagne pour « lidée européenne », avaient un allié puissant dans une autre organisation des citoyens qui sest avérée capable, travaillant à lintérieur des structures communautaires, de fournir lélan nécessaire au changement : il sagissait du Parlement européen. Le Parlement européen, composé au début de parlementaires nationaux, a été élu au suffrage universel direct en 1979. Bien quil continuât davoir peu de pouvoirs, il était une chambre dhommes politiques dont la mission était de penser lEurope. Cest le Parlement européen qui donna lélan pour le changement institutionnel. Les gouvernements avaient conscience de la nécessité dun changement, mais semblaient paralysés, incapables dagir jusquà ce quils soient aiguillonnés par leffort constitutionnel du Parlement européen. Les Nations unies elles aussi auront besoin dune Assemblée parlementaire pour intervenir dans le processus de leur transformation. Cela pourrait bien être la leçon la plus importante à tirer de lexpérience européenne par tous ceux qui travaillent aujourdhui en faveur de la réforme de lONU. La transformation : La création dune Assemblée parlementaire de lONU serait relativement facile et ne nécessiterait pas de modification de la Charte de lorganisation. Une fois créée, ce serait à elle de sengager pour sa transformation par les gouvernements en un véritable parlement dont les membres seraient un jour élus directement. Dès la création de lAssemblée la situation saméliorera. Les associations de citoyens ne devront plus alors se battre seules pour son développement ultérieur. Des alliés puissants et de nouveaux éléments favorables interviendront dans la lutte. On peut sattendre à ce que ses membres eux-mêmes jouent un rôle majeur dans son évolution par des amendements à la Charte en recherchant à la transformer en « organe principal » parallèle à lAssemblée Générale. Avec leur expérience politique, leur accès aux plus hautes sphères des gouvernements nationaux, leur crédibilité auprès de lopinion publique et des médias, les membres de lAssemblée des Nations unies pourront devenir, comme nous lenseigne lexemple de lEurope communautaire, le moteur du processus de transformation de leur assemblée en un parlement réel et élu au suffrage universel direct. LAssemblée parlementaire de lONU, portée par le soutien des citoyens, renforcée par sa propre légitimité, deviendra son meilleur allié, le moteur de sa propre évolution. Il serait excessif décrire quà ce point les associations de citoyens nauront plus grand-chose à faire et que le processus une fois enclenché continuera de lui-même, mais la vérité va dans ce sens. Un réel Parlement : Évidemment, la fonction dune assemblée parlementaire est, à long terme, dévoluer vers un réel Parlement des Nations unies avec le pouvoir de légiférer. Il est cependant improbable quelle ait dès labord des pouvoirs formels. Nous pourrions envisager quelle ait, comme lAssemblée Générale, la possibilité délaborer et voter des résolutions. Officiellement elles seraient considérées comme des recommandations et ne lieraient pas plus les gouvernements que les résolutions de lAssemblée Générale mais elles seraient un moyen de persuasion morale et aideraient à former un consensus politique mondial sur certains thèmes. La première bataille : Il y a de bonnes raisons despérer que le soutien nécessaire à une Assemblée parlementaire des Nations unies puisse être obtenu des gouvernements, tout particulièrement si les associations de citoyens sont capables dorganiser une campagne internationale efficace en ce sens. Évidemment, le projet aura ses opposants. Il est donc important dexprimer cette idée sous la forme la plus persuasive, la moins vulnérable aux attaques et la plus à même de permettre à ses partisans au sein des Nations unies et parmi les ministres des Affaires étrangères du monde entier de la défendre, y compris au sein de milieux très conservateurs. Les perspectives de succès augmentent si la proposition apparaît aussi simple et, du point de vue des gouvernements, aussi inoffensive que possible. La lutte avec les gouvernements sur le fait de savoir si une telle institution, aussi chargée dimplications que lAssemblée parlementaire des Nations unies, même sous sa forme la plus simple, devrait ou non voir le jour, sera probablement la plus dure des batailles que nous devrons affronter. Une économie fausse et ridicule : Les gouvernements nationaux dépensent quotidiennement deux milliards de dollars pour leurs besoins militaires, tout en se lamentant sur le manque de fonds pour les problèmes mondiaux. Refuser de dépenser pour une amélioration des Nations unies est une économie fausse et ridicule. Dans un monde dépourvu dun système de sécurité adéquat les États cherchent à se défendre seuls par des moyens militaires nationaux à un coût annuel approchant les mille milliards de dollars, cest-à-dire 1000 fois plus que le budget de base de lONU ! La première phase : Même dans la première phase de son existence, avec un rôle largement symbolique et une fonction exclusivement consultative, une assemblée parlementaire aurait la possibilité de modifier profondément les relations internationales. Une Assemblée parlementaire des Nations unies aurait un potentiel important, même en tant quassemblée consultative, pour la transformation de lONU en une organisation plus efficace. Dès sa naissance elle pourrait en effet :
Elle fournirait avant tout un élan, un levier dans le processus complexe de réforme de tout le système des Nations unies tout en le supervisant. La stratégie : Ce serait cependant une erreur fatale que dexiger lélection directe autrement que comme un but pour lavenir. Des élections mondiales, même si elles sont souhaitables au plan de la démocratie, signifieraient recueillir les opinions de milliards dindividus. Un tel processus électoral serait en outre chargé dinconnues que les politiciens et les bureaucrates détestent. Bien quil ny ait aucune raison technique pour que ce soit irréalisable, ce serait en toute logique complexe, onéreux et difficile à mettre en place pour une institution nouvelle dont les gouvernements ne ressentent pas la nécessité immédiate. Insister, dès le début, pour avoir un parlement à part entière, élu au suffrage universel direct, dans des élections mondiales, signifierait se condamner à léchec en offrant aux gouvernements la meilleure excuse pour ne rien faire. Sans sopposer réellement au projet, ils pourraient alors se perdre dans des questions techniques secondaires sur son coût et sa faisabilité. Une assemblée élue directement doit rester notre but, mais si nous confondons notre objectif final avec la stratégie exigeant tout, tout de suite, nous risquons de retarder le jour où les gouvernements pourront être convaincus de faire le premier pas vers sa réalisation. Nous avons donc besoin dune stratégie dont la première étape puisse être atteinte même dans un contexte de faible volonté politique. Cest sur ce point crucial que le Parlement européen nous donne les leçons les plus importantes. Il sest transformé par étapes en une assemblée directement élue, grâce à un processus évolutif, commençant comme une assemblée parlementaire composée de membres nommés par les parlements nationaux des Etats membres. Un avantage de baser, initialement, la représentation à lAssemblée des Nations unies sur les parlements nationaux serait dengager les parlementaires comme alliés dans la lutte, pour sa création puis pour aider à établir la volonté politique nécessaire à son évolution ultérieure. Le fait dêtre parlementaire des Nations unies galvaniserait nombre de ces hommes politiques qui, une fois chez eux, se feraient les avocats de lONU y compris pour renforcer et démocratiser son assemblée parlementaire. Un organe consultatif : Il est possible de créer une assemblée parlementaire au sein des Nations unies selon une procédure relativement simple sans avoir à suivre la voie, politiquement ardue, qui consiste à amender la Charte de lorganisation. LAssemblée Générale, dans le cas de larticle 22, peut létablir comme « organe subsidiaire ». Son rôle serait initialement celui dun organe consultatif avec pour mission daméliorer les communications entre les Nations unies, les parlements nationaux, et lopinion publique mondiale afin de contribuer à une meilleure appréciation du travail de lONU. Cest le type de motivation auquel les gouvernements seraient le plus sensibles pour créer une telle assemblée. Une fois sa crédibilité établie, au fur et à mesure que les gouvernements se sentiraient plus à laise à son égard, que ses propres racines institutionnelles se renforceraient et que son influence informelle se développerait, ses pouvoirs formels augmenteraient aussi. Dautres approches : a) Par lAssemblée Générale : Proposer que lassemblée parlementaire remplace lAssemblée Générale ou assume lune quelconque des fonctions qui lui sont actuellement dévolues transformerait instantanément tous les diplomates des Nations unies en adversaires alors que leur aide nous est nécessaire pour introduire lidée dans lAssemblée Générale. Celle-ci, de toute façon, est une institution utile en elle-même et a un rôle à jouer parallèlement au Parlement comme une sorte de « Chambre des gouvernements nationaux ». Si nous gardons lexemple européen, lAssemblée Générale est léquivalent, avec des différences, du Conseil des ministres et de ses fonctions intergouvernementales. b) Par lUnion interparlementaire : On se demande fréquemment sil ne serait pas plus rapide et facile, pour créer une Assemblée parlementaire de lONU, de transformer lUnion interparlementaire. Cependant, lUnion interparlementaire, même si elle cherchait à travailler en contact de plus en plus étroit avec les Nations unies, ne pourrait en devenir une institution quà sa propre initiative, et rien ne laisse aujourdhui penser quelle ait un quelconque intérêt à sinstitutionnaliser de cette manière. Une telle transformation reviendrait à détruire une organisation qui réussit pour en créer une autre. Les deux organismes pourraient être utiles. Tandis que lAssemblée parlementaire des Nations unies se mettrait en place, lUnion interparlementaire développerait son rôle propre et unique en tant quorganisation interparlementaire, rôle bien différent de celui dune chambre parlementaire et potentiellement aussi important pour lavenir. c) Par une agence spécialisée : Il y a une autre approche possible pour créer une assemblée parlementaire des Nations unies, encore plus graduelle et pour cela encore plus facile à mettre en oeuvre. Cette approche consisterait à envisager une assemblée parlementaire rattachée à une organisation du système de lONU plutôt quaux Nations unies elles-mêmes. Là encore il y a un précédent dans lhistoire européenne : lAssemblée parlementaire qui fut le précurseur du Parlement européen fut dabord rattachée à une agence spécialisée, la Communauté européenne du charbon et de lacier. Plutôt que de chercher à lincorporer dans une agence existante de lONU (UNESCO, UNICEF, etc.), ce qui soulèverait les mêmes difficultés que de la rattacher au corps principal des Nations unies elles-mêmes, nous pourrions prévoir de la mettre en place comme une composante dune quelconque nouvelle future autorité ou agence internationale. Il est très vraisemblable que soient créées dans lavenir de nouvelles agences pour tel ou tel problème et très probablement au moins une agence mondiale de lenvironnement. Le cas des États non démocratiques : Pour traiter le cas des États non démocratiques, on peut, par exemple, créer lassemblée de telle manière que ces pays soient exclus de toute participation. Je ne suis toutefois pas convaincu que ce soit la meilleure solution, au moins dans une période initiale où le rôle de lAssemblée parlementaire des Nations unies sera largement consultatif et symbolique. En accueillant parmi ses membres des pseudo-parlementaires, lAssemblée pourrait exercer sur eux une influence démocratique et deviendrait ainsi une force permettant de faire progresser la démocratie dans les États non démocratiques. Certains dentre eux, arrivés en porte-parole dociles de leurs gouvernements, pourraient bien se transformer en avocats des positions de lAssemblée (qui pourrait même avoir besoin détudier des mesures de protection directe à leur égard lorsquils seraient menacés par leurs gouvernements). Par anticipation, certains États non démocratiques pourraient résoudre le problème pour nous en refusant de permettre à leurs parlementaires de participer aux travaux de lAssemblée de peur quils ne soient infectés par la contagion démocratique. Cela, également, aiderait à faire avancer la cause de la démocratie en sapant encore plus la légitimité de ces gouvernements aux yeux de la communauté mondiale et de leur propre opinion publique, accentuant la pression pour un changement dans ces États. À la proportionnalité décroissante : Lattribution dun siège au minimum à chaque pays, quelles que soient sa taille et sa population, donnerait aux citoyens des petits pays une représentation disproportionnée. Un problème encore plus important se pose avec les pays les plus importants ; la Chine à elle seule recevrait environ 20% des sièges. Une alternative serait de répartir les membres selon une proportionnalité décroissante, cest-à-dire avec des tranches de populations de plus en plus importantes pour toute attribution dun nouveau siège à chaque État. Les plus petits pays auraient un représentant, les plus grands seraient limités à 10 ou 20 sièges. Il y a là de multiples formules possibles. Il ny a probablement pas de solution parfaite ; mais une solution acceptable serait probablement de partir de ce modèle avec échelle décroissante tant que lassemblée dans sa première étape serait composée de représentants des parlements nationaux, et dévoluer vers un modèle de représentation proportionnelle à la population lorsque lassemblée deviendrait élue au suffrage universel direct. * * * Les questions sur lesquelles les Nations unies seront souveraines devront être limitées constitutionnellement à des sphères dintérêt de caractère international ou global. En dautres termes, la souveraineté serait répartie entre deux niveaux de gouvernement, mondial et national, chacun deux étant souverain dans sa propre sphère de compétences telle est bien lessence du système fédéral. Dans le fédéralisme, lÉtat national non seulement perdure mais se voit renforcé dans sa sécurité et dans sa capacité à gouverner ses propres affaires. Source :U.E.F. |
||||||||
Idées - Actions - Commentaires 2023 du 20 au 29 octobre 2023 Semaine d'action pour un Parlement mondial La Semaine d'action est un événement annuel célébré chaque année en octobre à l'occasion de la Journée des Nations Unies, le 24. Elle a eu lieu pour la première fois en 2013. Les individus et les groupes sont encouragés à organiser des événements et des actions indépendants au cours de cette semaine pour promouvoir la création d'un parlement mondial démocratique. Le slogan de la Semaine daction est « Le Parlement mondial maintenant ! » Lannonce originale est toujours dactualité : « À mesure que les crises mondiales sintensifient, des personnes du monde entier, issues de divers horizons et cultures, expriment leur mécontentement à légard des formes existantes de représentation politique, qui les laissent sans voix dans la prise de décision mondiale. » Si vous pensez que notre système politique actuel est inadéquat pour faire face aux défis mondiaux croissants, vous nêtes pas seul ! Agissez et rejoignez lappel pour la création dun parlement mondial qui donnera une véritable représentation à tous les citoyens de la planète. Le samedi 21 octobre, à partir de 14 h 00 (heure de Paris) : Echanges transnationaux en visioconférence Parlement mondial : quand ? et pour quoi faire ?
2018 Bruxelles : Manifestation en faveur d'une Assemblée parlementaire des Nations-Unies le dimanche 28 octobre 2018 de 14 h à 15 h 00 Place du Luxembourg terre plein en face de la gare. il s'agit d'une activité presque identique à celles effectuées trois fois auparavant (2013, 2014, 2015 et 2017). 2017 https://www.flickr.com/photos/unpacampaign/sets/72157666472767789 Lundi 9 octobre 2017 à Sydney : 5ème expérience d'un parlement mondial The 5th Sydney Model
Global Parliament Want to be a Global MP for a day? Do you enjoy
vigorous debate about pertinent issues facing
society? Take advantage of an amazing and rare
opportunity to debate in the beautiful Legislative
Assembly Chamber of NSW Parliament House and
register for the 5th Annual Australian Model Global
Parliament in Sydney. You will be able to give voice to your values,
undertake research into critical issues affecting
our modern world and debate these with other
global-minded university students, while learning
how to perform a parliamentarian role. This is also
a great opportunity to meet cool people and have
your picture taken as a Global Youth MP. This year, participants will represent a diverse
range of NGOs including; the WTO, Amnesty, World
Vision, the Vatican, Medecins Sans Frontieres, Red
Cross, Unilever, Engineers Without Borders, Human
Rights Watch and the International Labour
Organisation. You will have the opportunity to engage in
robust debate on three key topics including: Tickets are $30 (exclusive of GST) and can be
purchased here
: Find out more about MGP here: Voulez-vous être député
mondial d'un jour ? Êtes-vous engagé
sur les problèmes pertinents auxquels la
société est confrontée? Profitez d'une occasion incroyable et rare de
débattre dans la magnifique Chambre
parlementaire de l'Assemblée
législative de NSW et inscrivez-vous
à la 5e expérience annuelle de
Parlement mondial en Australie, à
Sydney. Vous serez en mesure de donner votre avis sur
vos valeurs, d'entreprendre des recherches sur les
problèmes critiques qui touchent notre monde
moderne et d'en débattre avec d'autres
étudiants universitaires d'envergure
mondiale tout en apprenant à jouer un
rôle parlementaire. C'est aussi une
excellente occasion de rencontrer des gens
sympathiques et de prendre votre photo en tant que
député mondial de la jeunesse. Cette année, les participants
représenteront un large éventail
d'ONG, notamment: L'OMC, Amnesty International,
Vision Mondiale, le Vatican, Médecins sans
frontières, la Croix-Rouge, Unilever,
Ingénieurs sans frontières, Human
Rights Watch et l'Organisation internationale du
Travail. Vous aurez l'opportunité d'engager un
débat solide sur trois sujets clés,
notamment: 2016 2015
|
||||||||
Cette semaine d'action est promue
par la campagne pour une Assemblée Parlementaire au
sein des Nations Unies. |